L'Ordre Des Boulets
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 Bataille pour l'honneur!

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Aoryane

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MessageSujet: Bataille pour l'honneur!   Bataille pour l'honneur! Icon_minitimeMar 27 Nov - 23:03

(PS: Ceci est mon premier RP sur le forum, alors ne soyez pas troublé par mes propos, j'essayerais de me corriger au file de mes expériences dans ce domaine, cependant je vous demande de ne pas être indulgent et de me prévenir si quelque chose vous trouble avec mon histoire. Merci d'avoir lu ce petit message, bonne lecture.)

(PSS: Ceci n'est qu'une partie de l'histoire que je veux écrire, alors la suite viendra un peu plus tard quand j'aurais le temps de la faire, merci pour votre attention.)

INTRODUCTION

Vous-ai-je déjà raconté ce qu’y c’était passé il y a pas si longtemps ? Non ? Pourtant cela concerne la guilde et tous les membres qui s’y trouve, qu’ils soient nouveaux ou vieux, novices ou Maîtres, Vauriens ou Bourreaux. Cette histoire commence il y a de cela trois mois, par une sombre nuit noire où n’étincelait que deux choses, les multitudes étoiles percement le ciel qui se trouvé au dessus de nous et le feu de camp d’une guilde sans importance qui avait osé toucher à un de nos membres sans aucune raison valable et voler la totalité de ses ressources qui lui avait demander plus de trois heures à collecter, le pauvre Drallieiv s’était fait prendre de tous les cotés en un instant, coup de poings et coup de pied, lame tranchante, arc bandé, sorts élémentaires, feu, eau, air et terre, tout lui tomba dessus, il s’écroula et ne put se relever avant que les voleurs s’enfuient avec ses biens, cependant il eut le temps d’apercevoir les insignes de la guilde ennemis, il se releva tans bien que mal, et se dirigea vers le zaap le plus proche pour aller informer sa guilde du blasphème qu’avait osé commettre ces hommes, mais ses forces commencèrent à le quitter et malgré son moral il s’écroula sur le sol, la tête dans la poussière, ses yeux se fermèrent lentement, avant de s’éteindre. Heureusement, à ce moment précis, un de ses compagnons, Leurne, passa à proximité l’aperçut et se précipita à son secours, il le retourna ventre contre ciel, sortit une potion remplit d’un liquide d’une couleur violette et porta le flacon aux lèvres de Drallieiv. Le liquide coula le long de sa gorge, cela lui provoqua un sentiment de chaleur intense et la plupart de sa douleur disparut, mais il était encore trop faible pour bouger mais il réussit à répondre à la question que lui posé Leurne :

« Qui ? Qui a osé de faire ça ? Répond moi ! »

Dans un ultime effort avant de s’évanouir de fatigue, il lui chuchota le nom de la guilde de ses renégats, alors dans les yeux de Leurne s’alluma une flamme, une flamme de colère que nulle ne pouvait éteindre, à part la vengeance ! Il souleva son ami et l’emmena avec lui jusqu’au Q-G de leur guilde, là-bas, lorsqu’il y entra, se trouvé trois personnes, un sacrieur d’une beauté ténébreuse et avec un tempérament chauffé à la braise, Gelaw, une cra faisant rougir n’importe quel cœur par ses formes, et n’importe quels peau par ses flèches, Feudoreé, et un autre sacrieur avec la personnalité aussi dure que la pierre qu’il utilise pour écraser tous ses ennemis, Aoryane. En le voyant arriver, ils se levèrent avec joie mais lorsqu’ils se rendirent compte de la présence de leur compagnon blessé, leurs sourires disparurent de leurs visages, ils se tournèrent vers Leurne, qui répondit avant même que la question ne soit posé :

« Ce soir, ils se trouveront dans la forêt de Tonkult, …, je dois aller soigner Drallieiv. »

Il commença à s’éloigner avant de s’arrêter, de se retourner et, avec cette même flamme dans les yeux, de leur dire :

« Venger-le ! »

Il leurs tourna le dos et entra dans l’infirmerie sans prêter attention à leurs réponses, car, il le savait, la vengeance aller s’accomplir, ce soir même, à la forêt de Tonkult.
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Feudorée

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MessageSujet: Re: Bataille pour l'honneur!   Bataille pour l'honneur! Icon_minitimeMer 28 Nov - 4:52

Ahah magnifique, ca résume bien cette premiere bataille! =)
La seule chose tu oublie notre chef...Kanashnikov
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Aoryane

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MessageSujet: Re: Bataille pour l'honneur!   Bataille pour l'honneur! Icon_minitimeMer 28 Nov - 5:27

Eh, Eh, Eh, moi, je n'ai rien oublié, j'adore les surprises dans les histoires de combat. Le prochain chapitre sera surement pour demain. Soyez prêt mes très chers boulets.
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Stary Moon

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MessageSujet: Re: Bataille pour l'honneur!   Bataille pour l'honneur! Icon_minitimeMer 28 Nov - 10:01

Je trouve ça absolument dégueulasse de nous faire attendre comme ça, c'est de la torture ;-;

La suite '-' !!
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Aoryane

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MessageSujet: Re: Bataille pour l'honneur!   Bataille pour l'honneur! Icon_minitimeMer 28 Nov - 18:16

(PS: Aller hop premier chapitre juste avant d'aller en cours, bonne lecture.)

CHAPITRE 1 : Massacre au clair de lune.

Nous sommes donc partis, moi, Gelaw, et Feudoreé pour ce qui serait la plus longue nuit de notre vie ainsi que le début d’une grande aventure dont nous ignorions l’existence à l’époque. Nous parlions peu lors de notre marche vers la forêt, car aucuns mots ni aucunes paroles n’auraient pu faire baisser notre tempérament de colère qui nous animait. Après plus de trois heures de marche, la nuit commença à tomber sur le monde des douze, nous sommes arrivé au lieu dit. Après être entré dans cette lugubre forêt il nous fallut pas longtemps, à peine dix minutes, pour que la nuit soit totalement noire et que l’on aperçoive notre cible. Un feu de camp été allumé à l’horizon, dans une clairière d’une superficie de cinquante mètres de diamètre, et des Hommes y étaient assis et festoyaient. Six, six créatures infâmes, un fourbe disciple sram, un coquet sacrieur , une eniripsa se contemplant dans un miroir, un iop endormi, un cra qui nettoyait ses lunette et un vieil enutrof, mangeaient à pleine bouche tout ce qui passait à porté de leurs grasses mains puantes, à peine la nourriture était entré dans leurs gosiers qu’un autre aliment arrivé immediatement par-dessus, ce spectacle été répugnant. Nous nous sommes approché lentement pour entendre leurs conversations. Arrivé à leur niveau, nous étions cachés sur le versant d’une petite colline face à leur feu de camp. Nous commencions à entendre leurs médires. Ils ragotaient autour de choses futiles, comme les derniers potins d'amakna ou de qui allait gagner le prochain match de boufball. Mais à certains moments, plus long que les autres, ils étaient beaucoup plus sérieux et se lancèrent des phrases dans ce type-là :

« Eh, Grox, tu te rappelle de ce vieil Enutrof de ce matin ?

- Ouai, il était trop drôle, t’as vu comment il coupait le bois ? »

Le dénommé Grox commença alors à faire comme si il donnait des coups de hache sur un arbre trop grand pour lui, il louche et tira la langue, et bafouilla des paroles incompréhensibles comme un handicapé mental. Tous ses amis éclatèrent d’un rire strident sur cette imitation de Drallieiv absolument horrible et humiliante. Les rires de ces porcs se mirent à résonner dans mon crâne, je perdis tous mes moyens, mon esprit se vida de toutes ses pensées pour ne laisser que la vengeance et la haine de ses êtres perfides. Je m’apprêtais à foncer sur ses « Hommes » lorsqu’une main douce mais ferme m’attrapa le poignet :

« Pas maintenant, on ne doit pas suivre aveuglément notre colère. »

Je tournai la tête pour répliquer à Feudoreé mais lorsque je vis son visage je ne pu rien lui dire, il était neutre, presque triste, mais dans ses yeux j’y voyais une flamme encore plus chaude que l’enfer de Rushu lui-même, je retrouvai alors toute ma raison et gardais ma position en attendant le bon moment pour attaquer.

« Qui es-tu toi ? »

Je me redressai pour voir pour quelle raison un homme du groupe ennemi prononça ses paroles. La raison : Gelaw. Feudoreé avait réussis à m’empêcher de les attaquer, mais pas notre sacrieur brulant d’une rage incontrôlable, il avait quitté notre cachette pour se placer bien en vu juste face de nos ennemis mais à l’opposé de notre position, on ne voyait maintenant que le dos de nos ennemis et le visage plein de rage de Gelax derrière ses derniers. Gelaw ne répondit pas tous de suite, il concentra son énergie dans ses mains pour faire apparaitre des flammes, puis il leur dit :

« Je suis Gelaw, de la guilde de l’Ordre des Boulets, et lui c’est Aoryane. »

Au moment où il avait commencé à parler, j’ai foncé entre nos ennemis, je suis arrivé accroupis entre leur sram et leur iop, et avant qu’ils ne puissent faire quoique ce soit, j’avais déjà lancé deux pieds rocheux dans le ventre de mes deux ennemis, ils se courbèrent à cause de la douleur, leurs mentons étaient à porté, je puis ainsi placé deux coup de genou dans leurs mâchoires pour les mettre KO avant même que leurs alliés ne remarquent ma présence, le premier à m'avoir remarqué a été le sacrieur. Il m’injuria en me fonçant dessus pour essayer de m’infliger son plus puissant coup, cependant cette action lui demanda de tourner le dos à Gelaw qui en profita pour lui foncer dessus en un instant et lui infligea sa punition. Le corps du sacrieur s’embrasa et il tomba KO au sol. Il n’en restait plus que trois. J’ai alors dû user du pouvoir de mes tatouages pour attraper l’enutrof qui était le plus proche. Je l’attirai jusqu’à moi, l’attrapa et sauta avec lui en l’air. A ce moment, Feudoreé chargea sa flèche explosive et tira sur nous deux, je pris donc appuie sur l’enutrof et le poussa avec les deux pieds pour m’éloigner de lui, à cet instant, la flèche de Feudoreé passa à proximité de ma tête m’arrachant une ou deux mèches au passage avant d’exploser le papi, qui tomba inerte sur le sol KO. Les deux survivants prirent peur lorsqu’ils virent Gelaw, crachant du feu, Feudoreé, préparant son prochain tir avec une rage sur le visage, et Moi, jouant des mécaniques avec mes muscles, se rapprochaient d’eux. Ils prient alors la fuite mais ils se sont cogné sur quelque chose que ni eux ni même nous n’aurions imaginé voir arrivé ici. En face d’eux se dressé à présent trois personnes, trois monstres de notre guilde, il y avait notre chef d’équipe Kanapey, la femme de notre Maître de guilde Stary Moon, et enfin, le plus puissant élément de notre guilde, son chef lui-même, Kanashnikov. A leur vue, nous restions tous figé, les ennemis par peur, et nous par surprise de leur présence mais surtout par pitié pour nos ennemis, qui vont subirent une souffrance bien plus forte que nous n'aurions pus leur infliger. Kanapey leva son poing et de par sa force gigantesque écrase le cra et explosa même le sol. L’eniripsa courut alors, pensant que le temps qu’on s’occupe de son ami elle pouvait s’enfuir, mais c’est sans compter sur la rapidité de notre chef d’équipe qui la rattrapa sans mal, banda son arc et juste avant de tiré lui lança :

« C’est donc comme ça que tu vois tes amis, comme des appâts, vous me dégoutez ! »

La flèche traversa la tête de la pauvre de par et d’autre des deux oreilles, elle s’écroula alors en silence. Tous les ennemis étaient morts, Drallieiv était vengé, on pensait tous que cette fois ce serait finis, mais cependant c’est sans compté sur :

« COMMENT ? RÉPÈTE CE QUE TU AS DIT ?

-Mai...maître, nos hommes ont était exterminé par la guilde de l’Ordre des Boulets. Pitié maître, non, non, NOOOOOOOON…. »

L’homme mourut en un instant tué par un gigantesque sacrieur, le chef de la guilde adverse.

« Ainsi, ils nous prennent pour des moins que rien, Ah haha, je vais leur montrer à ses boulets, qui est veritablement la plus puissante guilde, ils voudront ne plus être de ce monde lorsqu’ils seront confronté à moi et aux douze chevaliers de l’Horizon ! »
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Aoryane

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MessageSujet: Re: Bataille pour l'honneur!   Bataille pour l'honneur! Icon_minitimeVen 30 Nov - 1:45

(PS: Pas de pause pour l’écrivain, les lecteurs veulent toujours la suite de plus en plus vite, et je ne vais pas les décevoir, aller en route pour le deuxième chapitre.)

CHAPITRE 2 : Embuscade.

Après ce rude combat, nous avons monté notre campement pour passer la nuit. Cette nuit-là, rien de bien étrange ne s’est produit, à part peut-être, l’arrivé de Kanashnikov à mes cotés lors de mon tour de garde, il s’assit à coté de moi et commença à regarder au loin, je me suis tourné vers lui et lui demandé :

« Que se passe-t-il ? C’est n’est pas encore ton tour de prendre la relève.

- Je sais, c’est juste que je n’ai pas sommeil et que je voulais observer le levé de soleil.

- Mais le soleil ne se lève que dans quatre heures.

- C’est vrai, il soupira, mais je suis assez patient. »

Un silence se posa sur nous, je commençai à me poser des questions sur sa venue, ne serait-il pas venu me prévenir de quelque chose ou bien pour me passer d’une information capital sur une mission futur. Mais au moment où j’allais lui demander la véritable raison de sa présence à mes cotés, il se leva et commença à repartir vers sa tente, il n’avait fait que quelques pas lorsqu’il s’arrêta, et me dit :

« Si jamais il m’arrivait quelque chose, je compte sur toi.

- Comment ça ? Il y a d’autres ennemis qui nous attendent demain ?

- Je ne sais pas, j’espère que non, mais il faut s’attendre à tous sur cette terre.

- Mais tu compte sur moi pour quoi ? »

Il ne répondit pas, et recommença à marcher lentement et juste avant de rentrer dans sa tente il me regarda et me lança :

« Tu comprendras lorsque ça arrivera. »

Il entra dans sa tente et ne tarda pas à s’endormir, cependant, moi, je n’ai pu me concentrer sur mon tour de garde, j’étais tourmenté par les paroles qu’il avait prononcé : « Il compte sur moi », mais pour quelle raison ? « Si jamais il lui arriverait quelque chose », mais quoi donc ? Un ennemi nous guette-t-il ? A-t-il peur de quelque chose ? Ces pensées passèrent et repassèrent dans ma tête tout le long de la nuit jusqu’au moment où Kanapey est venu prendre son tour de garde, en allant me coucher je continuais encore à y penser, mais le sommeil fut plus fort que les paroles prononcé par notre Maître et je n’ai pas tardé à m’endormir. Mes rêves ne furent pas hantés par mes sombres pensées de la nuit et je me suis réveillé comme si je venais à peine de commencer mon repos. Les autres avaient déjà commencé à ranger leurs affaires et il était prêt pour le départ vers notre Q-G. Je me suis dépêché de me préparer et nous sommes partit de bon matin, le soleil venait à peine de perçait le haut des arbres de la forêt. Nous marchions depuis un peu plus d’une heure quand Kanashnikov nous demanda de nous arrêter.

« Que ce passe-t-il ? demanda Gelaw légèrement agacé par cette pause momentané, lui qui déteste perdre son temps sur des choses futiles.

- Le sentier est étrange, regarder ces pierres, elles ne sont pas dans le même sens que celles qui les bordent. »

J’ai donc regardé, comme les autres, à l’endroit désigné par Kanashnikov. Les pierres étaient, en effet, dans une posture étrange, au lieu de regardé vers l’est comme toutes les autres, elles regardaient vers le nord comme si quelqu’un les avait bougé puis les avaient remis en place très grossièrement. Kanapey attrapa une branche qui reposé sur le sol et la lança sur les étranges pierres, celles-ci, au moment où la branche rentrât en contact, explosèrent, laissant à leur place, un trou noircit par la chaleur. L’explosion n’eu pas assez de puissance pour nous atteindre. Kanashnikov s’avança, observa le trou et ces alentours, avant de se redresser, de se tourner vers nous et de nous dire :

« Quelqu’un à mis ce piège en place dans le but de nous tuer. A en juger par la taille du trou, l’aire de l’explosion et la position des explosifs, il a été mis en place il y a moins de trente minutes. Nos agresseurs nous ont donc vu partit ce matin, nous ont devancé et ont placé ce piège avec l’espoir de nous tuer facilement.

- Ils doivent être loin alors, aucunes chances de les retrouver, soupira Feudoreé.

- Réfléchis, si ce piège était si grossier c’est qu’ils n’ont pas eu le temps de le fignoler et donc ils ont été pris pas le temps, nous sommes arrivé trop vite pour eux, ils sont donc encore très proche. Ils sont surement en train de nous observer pendant que je vous parle.

- Bien raisonner, petit boulet, hihihi ! » Cria une voix provenant des arbres.

On se tourna tous vers la direction d’où provenait la voix, juste au moment où une bombe surgit d’entre les arbres et nous fonça dessus. Dans un reflexe inhumain, dus à sa maitrise de l’agilité de cra, Feudoreè attrapa la bombe au vol et la renvoya à l’endroit où elle avait été lancé. La bombe explosa, des cris se firent entendre, puis une douzaine de roublard, tous habillé de la même façon, sortirent de la forêt et nous encerclèrent. Ils avaient tous une cape grise, un haut de forme violet avec un chiffre cousus dessus, un « 9 » orange et étoilés, une veste à manche longue de couleur noire, un pantalon bleu marine et des bottes de marche jaune à lacet. Ils avaient également une sacoche accroché à leur pantalon à l’aide d’une ceinture blanche, à l’intérieur se trouver une centaine de bombes semblable à celle qui avait déjà explosé au part avant. Ils prirent chacun une bombe dans chaque mains et se préparent à nous attaquer. Ils lancèrent tous en un instant leurs deux bombes, seulement cette fois, nous y étions préparer et nous n’avions eu aucun mal à éviter cette attaque. Les bombes explosèrent à notre ancienne position, les roublards essayèrent de reprendre des bombes mais nous étions déjà sur eux, chacun de nous s’occupèrent de deux roublards, l’affaire fut régler en cinq secondes. Ils s’écroulèrent à nos pieds, mais lorsqu’ils touchèrent le sol, toutes leurs bombes se mirent à émettre un tic-tac, au moment où on comprit ce qui aller se passer il était trop tard, nous aurions tous été tué si Kanapey n’avait pas été là. Il réagit au moment où le tic-tac se déclencha, il nous attrapa tous dans ses bras, et nous tira hors de portée de l’explosion. Les bombes explosèrent alors, mais nous nous en sommes sortit sans blessures. On se releva sans peine et on commença à se demander qui étaient ses hommes lorsqu’un bruit attira notre attention, c’était un applaudissement qui se rapproché lentement dans notre direction, on ne voyait pas encore qui applaudissait et pour quel raison il le faisait, après quelques secondes ont vit arrivé un homme de grande taille habillé de la même façon que les roublards qui nous avez attaqué, seul la couleur différé, puisque ses habits était totalement blancs et bleu ciel sur les bordure et sur son haut de forme était cousus un magnifique « 9 » couleur or. Arrivé à dix pas de notre position, il s’arrêta de marcher et d’applaudir, souleva son chapeau et nous fit la révérence en nous disant :

« Je vous félicite, réussir à battre mes meilleurs disciples n’est pourtant pas une chose facile.

- C’était tes hommes ? demanda Stary Moon. Qui es-tu ? Pourquoi nous attaques-tu ? »

L’homme se redressa, nous avions donc pu voir qu’il s’agissait également d’un roublard, il sourira et en remettant son chapeau nous lança :

« Je me nomme Wertrazing, je suis le neuvième chevalier de l’horizon ! »
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Aoryane

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MessageSujet: Re: Bataille pour l'honneur!   Bataille pour l'honneur! Icon_minitimeVen 30 Nov - 21:56

(PS: Mais qui voila, c'est bien lui, l'écrivain Aoryane. Aoryane raconte-nous la suite de ton histoire: "Oui, oui c'est partit pour le chapitre 3".)

CHAPITRE 3 : Wertrazing.

Nous avons dévisagé le dénommée Wertrazing pendant quelques secondes dans un silence pesant, ce fut Kanapey qui le brisa :

« Un chevalier de l’horizon ? Qu’est-ce donc que ce titre ? Et tu n’as toujours pas répondu à notre question, pourquoi nous avoir attaqué ? De ta réponse dépendra ton avenir proche ! »

Wertrazing sourit à pleine dents et fixa notre chef dans les yeux. Il leva les bras, son bras droit à proximité de sa tête en ouvrant complètement la main vers l’extérieur, son bras gauche tendu en face de lui en direction de notre chef, les doigts collés et la main tourné paume contre ciel, il garda cette position pendant cinq secondes avant de s’écrier :

« Les chevaliers de l’horizon sont les joyaux de notre boss, le chef de la plus puissante guilde qui existe sur cette terre, nous sommes les plus puissants guerriers de notre ère et nuls êtres ne pourra jamais venir à bous de notre force et de notre maitrise des éléments. Nous sommes un groupe composé de 12 membres, chacun étant classé en fonction de sa force individuelle, le plus puissant ayant le chiffre « 1 » et le plus faible ayant le chiffre « 12 ». Chacune des classes et des éléments sont représentés dans notre ordre et personnes ne pourra défaire l’un de ses membres de la place qui lui est dus, au dessus des gens normaux tels que vous !

- Ne nous sous-estimes pas, enfoiré ! » Hurla Kanapey.

Il lui fonça alors dessus et leva son poing pour le frapper au ventre. Cependant, au moment où son poing allait atteindre Wertrazing, il disparut d’un seul coup. Kanapey frappa le vide, perdit l’équilibre et tomba par terre. Il se releva en injuriant à mi-voix et demanda où était passé son ennemi. Un rire venant d’un arbre très proche attira notre attention, il était là, au sommet de l’arbre, debout sur une branche, il s’était déplacé de sa place initial à cette branche situé à dix mètres, en moins de deux secondes. Il se pencha en avant, avant de nous dire :

« Un peu de retenue, je n’ai pas encore finis de répondre à vos questions, soyez fier qu’un être aussi imposant que moi vous réponde !

- Connard… cria Kanapey, fou de rage d’avoir été humilié.

- Quel est ce langage ? Un peu de politesse devant une telle splendeur telle que moi !

- Laisse moi rire, tu ne vaux rien, tu as juste eu un peu de chance, si mon coup t’avait atteint, tu aurais fait moins le fier !

- Touche-moi alors, la prochaine fois, mon petit !

- Ordure !

- Je suis venu vous prévenir d’une chose, le Boss a été avertit de votre petit exploit dans la forêt de Tonkult, et il n’a pas apprécié qu’une autre guilde que la sienne ose infliger des dommages parmi les membres d’une de ses guildes alliées, il vous a donc mis votre guilde dans la liste noire, vous plaçant ainsi prioritaire dans les cibles de l’ordre des chevaliers de l’horizon. Nous avons en effet reçut l’ordre de tuer à vue chacun des membres de l’Ordre des Boulets. Voyez-y un grand honneur, le fait de pourvoir mourir de notre main n’est pas chose gratuite pourtant. Je pense qu’avec ces dernières informations, j’ai répondu à toutes vos questions.
Feudorée pris la parole. - J’en ai une, si vous avez reçut l’ordre de nous tuer, pourquoi avoir perdu ton temps à nous parler de ta mission ? Est-ce par peur de notre force ou juste par caprice ?

- Ahahaha, je ris, Ahahaah, moi, peur, jamais, enfin pas à cause de vous en tout cas. Si je ne vous ai pas tuer, ce n’est pas par caprice mais plutôt par obligation. Je n’ai le droit de tuer ma cible que dans la zone que m’a désigné le Boss. Je suis juste venu voir à quoi ressembler les « Terribles » membres de la « soit disant » plus forte guilde. Cette zone est gardé par le numéro 6, mais actuellement, il fait la sieste, vous avez de la chance.

- Peut-être que c’est plutôt lui qui a eu de la chance de ne pas nous croisez. Annonça Kanapey, qui s’était rapproché de son groupe.

- Si vous ne réussissez même pas à me toucher, il n’y a aucune chance pour que vous puissiez espérer gagner face au 6.

- Tsss, si j’étais sérieux je n’aurais aucun mal à te battre, microbe ! »

Wertrazing arrêta de parler, ses yeux changèrent, une colère apparut sur son visage, une colère qui nous glaça tous le sang, l’aura de cette homme était immense, elle nous engloutit en un instant, nous compressa et nous empêcha de respirer. Nous sommes tous tomber à genou, l’air nous manquer, on allait mourir, lorsque tous s’arrêta, une explosion se fit entendre en face de nous, en provenance de l’arbre où était perché notre ennemi, je me suis demandé ce qui avait provoqué cette explosion, j’ai levé la tête et je vis Kanashnikov, l’arc dans les mains, visant l’arbre qui venait d’exploser, au moment où l’aura c’est abattu sur nous, il a réussit à y résister et à bander son arc pour tirer une ultime flèche qui changea notre destin funeste en un avenir incertain. Wertrazing avait évité l’explosion, en partie, puisque son chapeau, sa cape et sa veste avait été brulés, il était à présent torse nu, il était peu musclé mais il présentait de nombreuses cicatrices sur son torse et un médaillon pendait à son cou, on pouvait y voir sur la moitié inférieur une plaine verte, et sur la partie supérieur un arbre vert. Il se tenait debout face à nous, sa colère avait disparut de son visage mais elle était encore présent dans l’air. Il se retourna et commença à partir en direction du sud, lorsqu’il s’arrêta et dit :

« Je n’aurai pas cru qu’une personne aussi puissante que vous faisait partie de cette guilde. L’élimination totale de l’Ordre des Boulets sera un peu plus compliquée que prévu. On se retrouvera surement plus tard. Ah et puisque j’en parle, si j’avais voulut vous tuer, je ne pense pas que j’aurais réussis même en usant de toute ma puissance. Adieu. »

Il disparut alors de notre vision. On s’écroula alors au sol, fatigué par ce combat qui n’a même pas eu lieu d’être. C’est à ce moment précis, que j’ai commencé à y penser, à ce mot qui me hante depuis toujours, et que je n’aurais jamais voulut ressentir de toute ma vie : « L’impuissance ».
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Aoryane

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MessageSujet: Re: Bataille pour l'honneur!   Bataille pour l'honneur! Icon_minitimeMer 5 Déc - 6:56

(PS: Une semaine d'attente, mais la patience finit toujours par payer, soyez heureux les Boulets, le chapitre 4 est là, et il y a du lourd, bonne lecture.)
(PSS: J'attend vos commentaires avec impatience!)

CHAPITRE 4 : Face à face.

L’énergie qu’avait dégagé la fureur de Wertrazing avait disparut mais je la sentais encore bien présente dans mon esprit, elle était comme un serpent guettant une erreur de ma part pour m’attaquer et me tuer. Tous le monde était encore sous le choc et avait des difficultés à respirer, Feudoreé et Gelaw étaient assis dans un coin près d’un grand arbre les yeux tourné vers leurs genoux, ils ne se parlaient pas et pourtant on sentait leur peur qu’il avait ressentit, Stary Moon semblait ne pas avoir était trop affecté mais elle tremblait légèrement, Kanapey qui se trouvait à coté d’elle, essayait de la calmer mais ne parvenait même pas à stopper sa propre terreur. Le seul ayant aucun mal à se tenir debout était Kanashnikov, il se tenait droit vers l’horizon, il regardait dans la direction où était partit notre ennemi, pensant à leur prochaine rencontre qui ne tarderait pas à arriver. Le temps passa, une heure, puis deux, midi passa, le soleil commença à se coucher lorsque l’on prit notre résolution à deux mains et que l’on décida de faire quelque chose contre ce nouvel ennemi. Kanashnikov fut le premier à parler, il décida que, pour l’heure, il fallait prévenir notre Q-G de la menace qui pesait sur nous, et qu’il fallait faire vite, car nous avions perdu beaucoup de temps. On fut d’accord avec sa proposition et on se dirigea vers notre base le plus rapidement possible.

« On devrait l’atteindre avant que la nuit tombe si on maintient ce rythme, nous déclara Kanapey, qui marchait en tête. »

On marcha pendant une bonne demi-heure dans la forêt, avant d’arriver à une plaine verdoyante peuplé uniquement d’une dizaine d’arbre, et seulement des pommiers. Lorsque l’on passa devant le premier pommier, le temps sembla s’arrêter, mes amis ne bougèrent plus, le vent se siffla plus à mes oreilles, seul le silence était présent à mes cotés, la peur m’envahit, des pensées me parviennent :
« Mais, que-ce passe-t-il ? Pourquoi cela m’arrive ? Qu’est-ce que l’on a fait à mes amis ? Au secours ! Aider moi ! Je vous en supplie ! Je veux que tous ça s’arrêtent ! »
Soudain, une voix se fit entendre, ou plutôt, une mélodie, une mélodie chantée par une femme, plus cette mélodie était chanté, plus le paysage disparaissez, pour me laisser enfin dans le néant, un néant froid et vide. La mélodie s’arrêta, et je fus seul, la peur se transforma alors en tristesse. Je ne voulais pas mourir, je voulais rester avec ma guilde. Qu’avais-je fait pour mériter ça ? Je tombai à genoux et des larmes commencèrent à couler le long de mes joues, lorsqu’une voix, la même qui chanté la mélodie, me parla au creux de l’oreille et me demanda :

« Aimes-tu les pommes ? »

Ne comprenant pas la question, je levai la tête pour lui demander son nom et la raison de ma venue dans ce monde, mais il n’y avait plus de néant devant mes yeux, le paysage était revenu et le temps avait repris ses droits, je vis Feudoreé au loin se retourner, me voir et me crier :

« Dépêche-toi Aoryane, le Q-G a été attaqué, ne reste pas planté là »

Surpris par cette nouvelle, j’ai oublié la voix que j’avais entendu, idiot que j’ai été, si ma mémoire avait été un meilleur allié, beaucoup de choses aurait pu être changé. Je me suis précipité vers la position de Feudoreè et j’aperçus de la fumée, en provenance du Q-G, on commença alors à courir, espérant que rien ne soit arriver à nos amis, on parcourut la distance qui nous en séparé en un instant, on aperçut le reste de notre groupe regroupé juste en face de notre Q-G, en rejoignant leur position, on s’aperçut avec terreur que notre base avait était détruite, de nombreux de nos nouvelles recrues étaient étendus au sol, sans vie, notre étendard était en feu, il ne restait plus rien qui nous rappeler nos anciens souvenirs passé entre nous en ces lieux, La rage qui nous animé était immense, bien plus grande que celle qui nous animé contre cette guilde que nous avions massacré la nuit dernière, car cette fois ce n’est plus qu’un de nos membres qu’il fallait venger, c’était notre honneur qu’il fallait venger. A cet instant, trois ombres se détachèrent de l’intérieur du bâtiment, chacune des personnes sortant de notre base tenait un corps dans ses bras, on vit qu’il s’agissait de Leurne, de Drallieiv et de Sigile. Les trois inconnus s’arrêtèrent à dix pas de nous, nous observèrent quelques instants avant de nous lancer nos trois amis. Gelaw, Kanapey et moi-même avons réagit immédiatement, j’ai rattrapé Sigile, Gelaw attrapa Leurne et Kanapey, Drallieiv. Kanashnikov s’avança alors vers les inconnus, et les observa avec une haine inimaginable sur le visage. L’inconnu situé sur le coté droit rigola, et avança d’un pas se retrouvant juste en face de notre Maître. Il était un peu plus grand que Kanashnikov, il était torse nul mais son visage était recouvert de bandage, ils portaient des gants de fer, chacun d’eux étant marqué d’un « 2 » en or. A cette vision, tout le monde sut à qui il avait à faire, le deuxième plus puissant membre de l’ordre des chevaliers de l’horizon, un frisson général passa au dessus de nous, mais Kanashnikov ne sembla pas être affecté par cette vision. Le n°2 parla alors :

« C’est bien la première fois, qu’un être inférieur ne prend pas ses jambes à son coup alors qu’il se trouve en face de moi. Tu es soit très courageux, soit complètement inconscient mon petit être inférieur, ahahaha.

- Ou peut-être que j’ai la certitude de ne pas t’être inférieur, mon, petit, être, su-pé-rieur.

- Comment oses-tu ! Je vais te montrer où se situe ta place, insecte ! »

Il commença à enlever ses bandages, lorsqu’une main monstrueuse attrapa son bras.

« Arrête ça, Zeitpura, nous ne sommes venu que pour parler aujourd’hui ! »

L’inconnu se trouvant au centre avait arrêté le mouvement de son compagnon en un instant, il posséder en lui une puissance gigantesque. Il s’avança lui aussi et se débarrassa de sa cape et de son chapeau qui nous empêchait de voir son visage. Il était grand, énorme, c’était un disciple de sacrieur il avait d’innombrables cicatrices sur tous le corps et sur son front avait été tatoué un chiffre en or, un « 0 ».

« Veuillez pardonnez à mon ami, il est un peu impulsif sur les bords mais il est très sage quand il le veut. »

- Qui-est-vous ? demanda Kanashnikov.

- Je manque à tous mes devoirs. Je suis Akukami, et je viens vous déclarer la guerre, ma très chère « Ordre des Boulets ».
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MessageSujet: Re: Bataille pour l'honneur!   Bataille pour l'honneur! Icon_minitimeJeu 6 Déc - 6:39

(PS: Un chapitre un peu plus court pour cette fois, il s'agit d'une transition avant la croisée des chemins de nos amis, les grosses bastons seront dans les prochains chapitres, patience mes Boulets. Voici le chapitre 5, soyez heureux.)

CHAPITRE 5 : Déclaration de guerre


Une déclaration de guerre, la première que la guilde subit, depuis toujours c’est notre guilde qui déclarons la guerre aux autres guildes, mais jamais l’inverse ne s’était produit, jusqu’à ce moment. Kanapey, tenant fermement Drallieiv dans ses bras s’avança et demanda à Akukami :

« Une déclaration de guerre ? Je vois que vous ne sous-estimé pas seulement notre force mais aussi votre intelligence pour osé déclarer la guerre à l’Ordre des Boulets !

- Ainsi, tu pense que je suis fou ? Hélas pour toi, tu ne vaux même pas la peine que je te prouve que j’ai toutes mes chances de détruire complètement votre misérable guilde. Après tout, ne suis-je pas un dieu ?

- Vous êtes barge mon pauvre ! »

A cet instant, Akukami concentra son énergie dans ses mains, la terre se mit à trembler, les nuages s’écartèrent, le feu qui brulait autour de nous s’éteignit, le vent semblait soufflé pour former un ouragan autour du sacrieur, on sut immédiatement à qui on avait à faire, sa puissance était bien supérieur aux nôtres, et en combat en un contre un, on ne pourrait rien faire. Pourtant, un membre de notre groupe ne pris pas son avertissement au sérieux et concentra lui aussi sa puissance au creux des ses mains, la puissance qui s’en dégagea annula celle de Akukami. Il fut repousser légèrement en arrière, fut extrêmement surpris, et leva les yeux vers son principal ennemi, celui qui osé se mettre à son niveau, notre Maître à tous, Kanashnikov. Celui-ci avait une aura immense, nul ne lui faisait peur, et nul n’osé se mettre sur son chemin ou s’attaqué à ces hommes, et pourtant, il sut que l’homme qu’il avait en face de lui, était aussi fort que lui. Akikami parut pendant un instant sur le point de libérer toute sa puissance pour tuer cet insecte qui osé se dressé devant lui, et pourtant, il rit, il rit à george déployait, emblant ne plus pourvoir s’arrêter. Lorsqu’il s’arrêta de rire, il regarder les yeux de Kanashnikov et lui dit :

« Si tu n’étais pas là, toute cette histoire n’aurait eu aucun intérêt à être commencé, j’espere grandement de rencontrer sur le champ de bataille pour te tuer de mes mains et te prouver ta place dans ce monde !

- Je t’y attendrais alors, soit au mieux de ta force si tu ne veux pas que ce soit moi qui te montre ta place.

Il sourit de toute ses dents, puis se dirigea vers l’Est, et disparut, ses deux hommes le suivirent sans dire un mot, même si Feudoreé crut apercevoir un regard intéressé se posait sur elle de la part de Zietpura avant qu’ils ne disparaissent à leurs tours. Kanapey frappa le sol, avant de crier de rage, on pouvait tous le comprendre, deux fois en une journée, il avait été humilié par la même guilde, sa soif de sang avait atteint son maximum, à leur prochaine rencontre, le sang coulera. Il se leva et pris le chemin où nos ennemi étaient partit mais Kanashnikov lui demanda de s’arrêter.

« Ne les suit pas Kanapey, tu ne peux rien faire contre eux, pour l’instant… On doit agir, il faut prévenir nos meilleurs éléments le plus vite possible, il faut que l’on soit tous réunit avant qu’ils n’attaquent avec toute leur force. On doit donc se séparer, chacun prendra une direction différente et aura deux nuits et un jour pour ramener ici le plus de Boulets possible, and deux jours au matin, il faut que chacun soit prêt à se battre. Je partirai vars l’Est, Kanapey tu prends l’Ouest, Gelaw le Nord-Est, Feudoreé le Nord-Ouest et Aoryane le Sud, toi Stary Moon, tu restes ici pour soigner le plus de personne possible et pour accueillir les Boulets qui arrivent. Je compte sur chacun d’entre vous, et que les Dieux soit de votre coté, jusqu’à la mort. »

On l’avait tous écouté sans rien dire, comme si une simple parole aurait put briser cet instant, un instant de paix pour nous tous, on put contempler la puissance véritable de notre Maître, qui est son charisme. Il nous regarda tour à tour, sortit son arc et le brandit devant lui en criant.

« Ici, notre route se sépare pendant un moment mais on se retrouvera tous ici, pour la bataille finale, vive l’Ordre des Boulets, mort à ses ennemis ! »

Chacun de nous sortit alors son arme et la brandit au dessus de l’arc de Kanashnikov, en répétant les derniers mots de son discours, « Vive l’Ordre des Boulets, mort à ses ennemis ! » On rangea nos armes, on se tourna le dos et on partit pour une longue route vers notre destin, celui de la guilde et celui de l’ordre des chevaliers de l’horizon ! Le sang coulera autour de nous le lendemain, mais peut-être pas uniquement celui de nos ennemis…
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MessageSujet: Re: Bataille pour l'honneur!   Bataille pour l'honneur! Icon_minitimeVen 7 Déc - 0:59

(PS: Oyez, oyez, braves gens, le seigneur Aoryane vous propose de proposer des idées dans vos commentaires, des combats, de l'amour, des sacrifices, que voulez-vous voir apparaitre dans cette histoire, seigneur Aoryane essayera de les mettre à un endroit dans son histoire, si cela est possible. A présent, voici un énorme chapitre, la première croisée des chemins, c'est partit pour le chapitre 6, bonne lecture.)

CHAPITRE 6 : La croisée des chemins : Aoryane

Je suis partit, sans me retourner, avant que le soleil ne se couche, sans rien dire aux autres, je me suis dirigé vers le Sud, en espérant trouver le maximum de membres pour défendre la guilde. J’ai marché pendant une heure, la nuit tomba telle une pierre dans un puit. Sans un bruit, le froid m’ouvra ses bras et m’entoura, un frisson me parcourut, mon souffle chaud dans la nuit froide était le seul son que je pouvais entendre, j’ai traversé des plaines et des forêts tous le long de la nuit, sans croiser âmes qui vivent. Lorsque le soleil pointa son nez à l’Est, ses rayons réchauffèrent ma froide peau et je puis faire une pause, le long d’un ruisseau, je sortis de mon sac une cuisse de bouftou pour me rassasier, je bus deux grandes gorgé dans l’eau fraiche avant de repartit vers le Sud, toujours plus loin, toujours vers les montagnes. Je suis passé au dessus du ruisseau et ai commencé à traversé la plaine quand un bruit sourd se fit entendre à ma droite, je me suis tourné dans cette direction et aperçut, à plus de 500 mètres, deux hommes en train de se battre, l’un d’eux avait l’avantage, il était masqué et portait un immense bouclier devant lui, il s’en servait pour donner de grand coup à son adversaire, en le fixant, je m’aperçut avec terreur, qu’il s’agissait d’un de nos membres, Jarhead le bras-droit. Le voyant en difficulté je n’ai pas hésité un instant, j’ai courut dans leur direction aussi vite que je pouvais, arriver à une vingtaine de mètres d’eux, je pliai mes jambes et me prépara à sauter dans leur direction en usant de toute ma force, au moment où je sautai sur eux, Jarhead sortit un pistolet de sa poche et en un instant tira dans la tête de son ennemi qui s’écroula de tous son long sans avoir put réagir. Moi, pris dans mon élan, je perdis l’équilibre et m’écroula aux pieds de notre roublard préféré. Celui-ci me regarda alors, et me lança :

« T’essayais de faire quoi au juste ?

Je me suis relevé avec peine, ma chute m’avait provoqué des douleurs un peu sur tous le corps, j’essuyai mes vêtements et je lui répondis :

« Je te croyais en difficulté contre cet ennemi, j’ai… volé à ton secours, si on veux…

- Comme si j’avais besoin de l’aide d’un petit sacrieur comme toi !

- On n’a pas le temps de nous disputer, la guilde est en danger, une armée et en marche pour la détruire, il faut que tu viennes avec moi jusqu’à notre Q-G, dépêche-toi !

- Pffft, je n’ai pas envie de venir aider… si notre chef est déjà présent, et que nos ennemi sont du niveau de notre camarade tombé ici, il n’y a aucune raison à ce que je vienne aidé moi aussi.

- Mais, tu ne te rends pas compte de… »

Je ne pus terminer ma phrase, à ce moment, le corps de l’ennemi que l’on croyait vaincu disparut d’un seul coup. Jarhead et moi étions abasourdis, « qu’est-ce qui s’est passé ? » a été la première phrase à nous venir à l’esprit. Jarhead se rapprocha de l’endroit où le corps avait disparut, il se pencha en avant pour examiner l’herbe mais à ce moment, il reçut un puissant coup à l’arrière de la tête, qui aurait assommé n’importe qui, mais qui à juste fait tombé notre bras-droit, celui-ci se releva et regarda autour de lui, se demandant qui l’avait frappé ainsi, on s’aperçut en même temps qui avait donné ce coup. Le corps de l’ennemi était debout face à nous, il souriait de toute ses dents, il tenait son bouclier devant lui, il était d’une beauté terrifiante, sertit de toute part de pierres précieuses et présenter un immense « 8 » en or qui faisait tous le tour du bouclier et passer également en son centre. Jarhead sortit de nouveau son pistolet et tira à la vitesse de l’éclair, un tir parfait en plein tête mais qui fut repousser au dernier moment par un mini bouclier accroché au bras gauche du n°8.

« Comment as-tu réussis à disparaitre ainsi ? Cria Jarhead. Serais-tu un sram ?

- Ahahahaha, pas du tout, je suis qu’un noble disciple feca, et devinais les pouvoirs de ses ennemis fait aussi partit d’un combat ! Essaye donc de deviner de quelle manière j’ai pus disparaitre ! Si tu réussis, je te dirais mon nom, petit roublard.

- Inutile, je t’aurais tué avant que tu ne puisses répondre. »

Jarhead fonça sur le feca, il le contourna facilement, se plaçant dans son dos, il arma son arme et tira trois fois, chaque tir visant une partie vitale. Notre ennemi bloqua chaque balle avec une aisance déconcertante, pris son bouclier à deux mains et l’envoya, tel un disque, dans la tête de Jarhead, celui-ci tomba au sol inconscient. C’est à ce moment je choisis d’agir, j’ai foncé dans le dos du feca et envoya un uppercut, celui-ci se retourna à ce moment et le reçut dans le menton, ce coup arracha son masque, libérant ainsi une longue chevelure violette, un visage féminin d’une beauté presque irréelle et un collier, dans le même style que celui de Wertrazing, sauf qu’à la place de l’arbre il n’y avait que du vide, comme si on avait oublié d’y peindre quelque chose. Le coup obligea à notre nouvelle ennemie à faire une roulade arrière, elle se redressa bien droite en face de moi et remis sa chevelure en place d’une main, puis me fixa avec des yeux de braise. Elle se mordit les lèvres puis me dit :

« Pour te féliciter de ce magnifique coup, je vais faire trois choses, la première étant de te dire mon nom, je suis Chützluce, le huitième chevalier de l’horizon, la deuxième étant de laisser partit avec ton compagnon sans te faire de mal, la troisième étant que pour que je te laisse partit il ne faut pas que tu assiste à la bataille final de demain.

- Soit tu me laisses partir mais j’abandonne mes amis à une mort certaine, ou bien je te combats alors que mes chances de victoires sont quasi nul. C’est ça, non ?

- je serais très heureuse que tu choisisses la première option, je ne voudrais pas tuer un garçon aussi beau et robuste que toi.

- Je pense… que je vais partir sans me battre…. Je tiens à ma vie….

- Tu as fait le bon choix, en espérant te revoir après ça, on pourra passer du bon temps ensemble. »

J’ai commencé à me rapproché de Jarhead, pour le prendre avec moi, arrivé à son niveau, Chützluce était à moins de dix pas, à cet instant, ma vie, mes ambitions, tous ça n’était rien, comparé à ma guilde.

« Comme si j’allais m'enfuir comme un lâche !!! »

J’ai bondit vers elle, et je lui ai donné un coup de pied, elle fut surprise de ma réaction qu’elle ne réagit pas, elle se prit mon pied en pleine figure, son nez se cacha son le choc, le sang coula le long de sa joue, elle fut propulsé en arrière, elle tomba lourdement sur le sol. Je ne devais pas lui laissé le temps de réagir, je lui sautai sur le ventre et commença à lui donner des coups de poing, mes mains semblaient ne plus pouvoir s’arrêter, je frappai ce beau visage avec une rage démoniaque. Moi qui n’aurai jamais, ne fut que crié sur une femme, j’étais en train d’en massacré une, et je n’en éprouvai aucun remord, elle n’était qu’une ennemie à mes yeux, un danger pour la guilde, elle devait mourir pour le futur de l’Ordre des Boulets. Son visage commença à s’enflait et à devenir bleu et violet après une cinquantaine de coups, je commençais à fatigué, je lui en donnant deux de plus, en espérant qu’elle ne relève pas. Cependant au moment où je me suis levé et me suis dirigé vers Jarhead, son corps disparut. Je me suis mis en garde, j’essayais de me concentré mais je n’arrêtais pas de penser, « Comment peut-elle encore bouger après avoir reçut autant de coups ? ». Plonger dans mes pensées, je ne sentit pas l’énorme bouclier s’approcher de mon visage à toute vitesse, celui-ci rentrât en contact avec ma tempe, il me fractura le crâne, une douleur sans nom me parcourut, un crie de douleur sortit de ma bouche, suivit d’un second coup dans mon ventre, c’était à mon tour d’être inondé par les coups vengeurs d’une personne croyant suivre le bon chemin pour sa guilde. Ses coups étaient puissants et répétitif, dans les yeux de Chützluce que je distingué sous les nombreuses bosses que je lui avais infligé, une tristesse pouvait s’y lire, et je compris, elle ne voulait pas se battre contre moi, elle déteste la violence, et moi je lui en avais infligé une énorme, elle a eu très peur, elle croyait pourvoir me faire confiance. Cependant, la confiance n’existe pas lors d’une guerre entre les différents membres ennemis. Un ultime coup se dirigea vers le haut de mon crâne, j’allais mourir, je le sentais, mais au lieu de la mort, il s’en suit un bruit, une balle de pistolet avait été tiré, Jarhead s’était levé et avait tiré sur Chützluce, celle-ci à dus stopper son attaque pour se défendre, cela me permis de l’attaquer, j’étais désolé pour elle, je voulais la battre le plus rapidement possible pour lui éviter le maximum de douleur, mon coup de pied l’atteint dans les côtes, elle cria de douleur, s’éloigna de nous et disparut. Le silence se fit sur le champ de bataille, je pris mes pensées en mains pour trouvé l’énigme à ce pouvoir, un rayon de soleil m’éblouit à ce moment, il était midi passé et le soleil commencé à se couché, ce rayon de soleil me permit de percé l’énigme de l’invisibilité de cette feca. Je levai le pied et frappa la terre avec force, un nuage de poussière monta dans l’air, cachant le soleil, et faisant réapparaitre Chützluce, elle fut extrêmement surprise, Jarhead arma et tira, la balle fut comme tirais au ralentit pour moi, car je fixais les yeux de notre ennemie, on pouvait y lire de la pitié, de la tristesse, de la colère mais aussi de la reconnaissance. Ce regard me brisa, lorsqu’il s’est éteint pour toujours lorsque la balle lui transperçât la tête et que celle-ci explosa. Chützluce tomba lourdement sur le sol, son sang coula, sa vie s’arrêta, le premier chevalier était tombé, et c’était celui qui répugnait le plus les combats qui aller venir. Mon esprit devenait plus lent à mesure que je regardais son cadavre, des larmes commencèrent à couler, sa mort était de ma faute, si je n’avais pas découvert son secret, elle ne serait pas morte.

« Redresse la tête Aoryane, tu as fait ce que tu devais faire !

- Comment, comment peux tu rester ainsi aussi insensible face à la mort d’un être aussi pure ?

Il se tourna vers moi, des larmes coulaient le long de ses joues, et me dit :

- Qui est insensible ? Qui doit payer de la mort de cette fille ?

- Jarhead…

- Ne me prend pas pour un monstre, tuer n’est pas une chose facile, surtout tuer une personne qui ne voulais pas se battre. Cette fille est morte parce qu’elle est rentré dans un ordre qui ne valait pas la peine. Je vais t’accompagner Aoryane, allons montrer à ces chevaliers, ce qui en vaut de jouer avec la vie des gens de cette façon ! »

On essuya nos larmes, et on se dirigea vers notre Q-G, on y arrivera dans la matinée, pile à l’heure pour la grande bataille. Sur le chemin, Jarhead ne parla pas, il n’ouvrit la bouche qu’une seule fois pour me demander :

« Dis-moi, pourquoi Chützluce est réapparut après ton coup de pied ?

- Pour disparaitre elle utilisait de puissant bouclier transparents qui renvoyé la lumière, c’est de cette façon qu’elle devenait invisible, avec ce coup de pied j’ai caché de soleil et ainsi empêché son invisibilité de ce produire.

- Tu as bien pensé malgré le danger qu’elle représentait au cœur de la bataille. Tu t’es amélioré Aoryane.

- Merci »

On continua notre route, jusqu’à la nuit tombée où on fit une courte pause, au milieu de la nuit des grosses explosions se faisait entendre au long mais le sommeil nous empêcha de nous en méfier. Un peu avant le levé du soleil on repartit, on arriva ainsi à notre Q-G, juste à temps pour apercevoir au loin, une armée se dirigeant vers ici, pour commencer la dernière bataille.
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Feudorée

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MessageSujet: Re: Bataille pour l'honneur!   Bataille pour l'honneur! Icon_minitimeVen 7 Déc - 3:58

Woh Doll tu m'as donné des frissons OO'...
Vivement la croisée de Feudoreé Wink Je compte sur toi Razz !
Attend mais c'est trop triste mais beau ARGH! Je kiff ^^ Malgré les nombreuses fautes de langage (a)
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Aoryane

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MessageSujet: Re: Bataille pour l'honneur!   Bataille pour l'honneur! Icon_minitimeVen 7 Déc - 19:59

(PS: Eh, c'est moi, Aoryane, avec son prochain chapitre dans le sac, vous le voulez? Vraiment? Bon, ok, je vous le donne, mais pas de bêtise avec, ok? Ah et aussi! Je m'excuse pour les nombreuses idées qui se trouve dans mon histoire, et qui ne sont que des reprises d'idée trouvées dans des animés et des mangas que j'ai beaucoup aimé. Voici le chapitre 7, bonne lecture.)

CHAPITRE 7 : La croisée des chemins : Feudoreé


Remontons un peu le temps, lorsque je suis partit vers le Sud, Feudoreé pris la direction du Nord-Ouest, elle se dirigea vers la forêt que nous avions déjà traversé, elle fit plus de chemin que moi avant que le soleil ne se couche, cependant, la fatigue étant plus forte chez elle, elle dut s’arrêter plus longtemps et ne put repartir avant que le soleil ne se lève le lendemain, Elle continua alors sa route, traversa une petite plaine, ramassa des pommes qui trainer par terre et croqua dedans avec envie. Elle avait en effet rien mangé depuis plus de 24 heures, elle arriva soudain à une petite cabane en ruine, de la mousse avait commencé à pousser sur les murs et le toit de cette demeure inhabité depuis plus de cinquante ans. Feudoreé y entra pour y chercher des objets qui pourrait lui être utile lors de la bataille contre l’ordre des chevaliers de l’horizon. Elle ouvrit la porte plus facilement qu’elle ne s’y attendait, elle n’était pas, en effet, bloquer par le ravage du temps, à l’intérieur, Feudoreé s’aperçut que la maison n’était vielle que d’apparence extérieur, car à l’intérieur, des meubles neufs était posé, un lit moelleux et chaud était collé contre le mur du fond près à accueillir une personne fatigué par une longue journée, un four était installé à droite de l’entrée pour la préparation de toute sorte de nourriture pour les aventuriers affamés après un rude donjon et une petite table basse était disposé au centre de la pièce, entouré par des chaises en bois, sur cette minuscule table était posé un journal, Feudoreé le prit et lut le titre qui était marqué en grosses lettres de couleur rouge sang : « Le journal des conviction d’un héros ». Intrigué par ce titre, quelque peu insolite, Feudoreé décida de l’ouvrir, elle feuilleta les pages, cherchant une information utile, elle s’arrêta à une page qui attira son regard, elle n’était pas daté, mais un nom, qui lui était familier, était marqué : Wertrazing. Elle tira la chaise et s’assit, puis posa le livre ouvert sur la table et commença à lire ce passage qui pourrait, elle le croyait fortement, apporter des indices concernant l’ordre des chevaliers de l’horizon. Le texte commençait ainsi :

« Journal, j’écris aujourd’hui, parce que je n’avais rien d’autre à faire, il se passe plus rien ici, plus un seul aventurier ne passe par cet endroit isolé, je me sens si seul, il y a si longtemps que je n’ai pas tué un homme, je me rappelle, de la dernière fois, c’était un sram, il se croyait trop fort, il voulait me prouver que mon ordre ne pouvait rien contre lui, il est devenu invisible, il a cru pouvoir me tromper avec sa ruse, il m’a contourné, il croyait pouvoir me tuer sans que je ne puisse rien faire, mais au moment où sa dague aller me transpercer le dos, je me suis retourné, lui ai attrapé le bras et l’ai frappé de toute ma puissance, si t’avais vu ça, ses os se sont brisés, il hurla de douleur, il tomba à terre, son sang commença à couler, tu le savais que les sram pouvais saigner ? Moi non, mais ce gars me l’a prouvé. Je me suis approché de lui, il essayait de s’enfuir en rampant, je lui ai laissé du temps avant de l’achever, un gros coup en pleine tête, elle a explosé sous le choc, tous ce sang et ces bouts de cervelles m’ont excité, alors j’ai brisé son corps en entier, j’ai mutilé son cadavre, il n’en restait plus rien. Mais c’était il y a longtemps, il ne se passe plus rien maintenant, à part peut-être. Faut que je te raconte, journal, ce Wertrazing a osé attaquer des ennemis de notre ordre, sur mon territoire, pendant ma sieste, il a été puni par notre boss, mais qu’il ne se tienne pas en face de moi ou il ne restera plus rien de lui. Bon… que dire d’autre, rien, je m’ennuie, si seulement il y avait quelque chose qui… attend, journal, il y a quelqu’un qui s’approche de ma maison, que je suis heureux, je vais enfin pouvoir tuer quelqu’un, je te laisse, du sang frais m’attend. »

Le sang de Feudoreé se glaça, elle se leva d’un bond et courut vers la sortie, au moment où elle passa la porte, un poing gigantesque s’abattit sur elle, elle l’esquiva de justesse et se plaça hors de porté de cet être abominable, il était grand, son visage et son torse était couvert de clou, certains des clous planté dans son torse étaient d’une couleur d’or et étaient si proche les uns des autres qu’ils formaient un grand « 6 » sur son torse. Cet ennemi était un iop, un puissant iop qui aimé le sang et le meurtre, il souriait et rigolait d’un air sadique en regardant Feudoreé, qui était pétrifiée par ce qu’elle voyait. Il craqua ses doigts et son cou, puis en se léchant les lèvres il lui dit :€

« Ma petite proie, ne court pas, cela ne retardera que de quelques instants ta mort par la main du puissant Rerosieghar. »

Il s’élança alors en avant à une vitesse prodigieuse, en un instant il s’est retrouvé à coté de Feudoreé et lui lança son poing à toute vitesse dans les côtes, celle-ci réussis à esquivé et banda son arc. Elle décocha plusieurs flèches qui explosèrent autour du iop, celui-ci ignora les explosions et se dirigea de nouveau vers notre cratte pour lui placer un coup. Il le savait, et Feudoreé aussi, si un seul de ses coups atteignait sa cible, celle-ci aurait perdu le combat. Feudoreé esquivait tant bien que mal les coups que son adversaire lui donnait, mais plus les coups se multipliaient, plus son esquive devenait grossierre, jusqu’à devenir ridicule. Elle était obligé de faire monter la poussière qui trainer au sol pour éviter les attaques qui lui étaient destiné. Elle commença à avoir peur, elle ne pouvait gagner ce combat ainsi, elle eu alors une idée, elle évita le coup que lui lança Rerosieghar, et l’aveugla en lui lançant du sable dans les yeux. Elle courra alors en direction de la maison en ruine, elle entra et au moment où le iop se rua sur elle, elle ferma la porte et se coucha au sol, le poing explosa la porte et un nuage de poussière et de vieillesse s’éleva dans l’air, Feudoreé roula alors sur le sol, pour se placer juste en dessous de sa cible pour lui placer une flèche, cependant Rerosieghar avait deviné ses attentions et attrapa le bras de Feudoreé, il serra de toutes ses forces sa main et le bras se brisa. Feudoreé hurla de douleur, son arc fut détruit en même temps que la totalité des os de son bras droit, le sang coula sur son visage déformer par la tristesse et la douleur, Rerosieghar l’attrapa alors pas le devant du chemisier, au niveau du torse, et la balança dans la forêt avec toute sa force, Feudoreé s’envola et sa course fut stopper par un arbre, elle se brisa dessus, la moitié de ses os fut brisé, elle pleurait, elle souffrait, elle voulait que tous cette souffrance s’arrête. Le iop s’approcha lentement de notre cratte, il savourait l’instant, il aimait jouer avec ses proies, il les laissé souffrir avant de les achever avec haine, mais pour Feudoreé, une autre fin lui été réservé, un viol de la part de son ennemi. Il y a longtemps qu’il n’avait pas put toucher un être féminin vivant, il en avait une en face de lui et il allait en profiter. L’esprit de Feudoreé se brouilla pendant que son ennemi se rapprochait, elle repensait à tous ce qui l’avait rendu heureuse jusqu’à ce jour, son entrainement, ses amis, ses amours, sa guilde… sa guilde qui lui fait confiance, qui compte sur elle pour lui trouver des troupes, sa guilde qui ne pourrait pas se remettre de la mort d’un de ses membres, sa guilde qu’elle aime plus que tout. Rerosieghar était à deux pas de son corps, il se pencha et voulut la ramasser pour la ramener dans sa maison et commencer ce qu’il avait prévu de faire, mais à cet instant, Feudoreé se sentit bien vivante, le souvenir de sa guilde qui l’attendait lui permit de reprendre courage et d’ignorer la douleur, elle se releva d’un bond et donna un puissant coup de pied dans la mâchoire du iop, celui-ci très surpris tomba à la renverse, Feudoreé roua de coup son immense carcasse d’autant de coup qu’elle pouvait donner, puis elle tomba à genoux, exténuer par ce rude combat, Rerosieghar se releva doucement, de la colère animait son visage, il avait été humilié, seul la mort pouvait pardonner cet acte, il s’approcha de Feudoreé, leva son poing très haut au dessus de sa tête, puis l’abaissa avec force. Feudoreé entendit alors une explosion, un rire, puis... le silence.
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MessageSujet: Re: Bataille pour l'honneur!   Bataille pour l'honneur! Icon_minitimeSam 8 Déc - 22:52

(PS: Comment ça les PS c'est uniquement pour la fin des textes? Je ne suis pas d'accord! Moi je met mes PS en haut si je veux, je monte en bas et descend en haut. Tout simplement parce que je suis Aoryane. C'est partit pour la chapitre 8, bonne lecture.)

CHAPITRE 8 : La croisée des chemins : Gelaw

Ce fut celui qui partit le plus rapidement, il devait en découdre avec cet ordre qu’il détestait, il courut sans s’arrêter, sans boire ni manger toute la nuit jusqu’à ce que le soleil ne se lève, il leva la tête, tourna sur lui-même et scruta l’horizon. Enfin, il soupira puis déclara à haute voix :

« Aucun doute ! Je suis complètement paumé ! »

A trop courir en pleine nuit, on finis par se perdre dans le monde des douze, Gelaw en fit l’amertume découverte ce jour-là, il s’approcha d’un arbre et tapa sa tête contre le tronc, une fois, puis deux, puis dix, puis vingt, on aurait dit qu’il voulait déraciner l’arbre à l’aide de son crâne, au bout du cinquantième coup, il laissa sa tête reposer le long du tronc, soupira de nouveau, puis il s’assit en posant son dos contre le vieux chêne qui ruisselé de sang de sacrieur. Il se mit alors à réfléchir, il ne savait ni où il était, ni où il devait aller, ni d’où il était partit. Dans ce genre de situation, un aventurier normal, avec un comportement normal, et ayant un esprit en pleine possession de ses moyens, choisirai de suivre un chemin, en ligne droite, vers une direction choisit à l’avance, pour être sure de croiser quelqu’un qui connaisse la région ou bien une ville. Cependant, Gelaw n’est pas exactement comme la plupart des aventuriers qui peuplent ce monde, il se leva après avoir longuement réfléchit, respira longuement et se dirigea vers le Sud, puis quelques centaines de mètres plus loin, il bifurqua de chemin et se dirigea vers l’Est, ensuite, il pris un petit chemin à travers les champs vers le Nord. Gelaw avança ainsi pendant près d’une heure, sans croisé une âme qui vive, il se démoralisa très vite, pensant qu’il ne pourrait plus voir de personnes vivantes et qu’il allait mourir seul, sans que nul ne le sache. Cependant, à cet instant, où tout espoirs l’avaient quittés, il entendit au loin des explosions, il se tourna alors et sourit, il vit de la fumée dans le ciel, il n’était plus seul au monde, quelqu’un se trouver là-bas, il était heureux, et se dirigea vers la fumée, il marcha pendant quelques minutes, écarta des petits arbustes qui le gênait, arriva en haut d’une colline et put ainsi contemplait la cause de ces explosions. Il s’aperçut alors, qu’il s’agissait de deux personnes disputant un combat féroce, l’un d’eux était un puissant guerrier, recouvert de clous, il levait son poing au-dessus de sa tête et s’apprêtait à tuer son adversaire qui gisait à ses pieds. Son adversaire n’était d’autre que l’amie de Gelaw, Feudoreè, elle allait mourir, tuer par ce gigantesque iop. Gelaw n’hésita pas, il activa son pouvoir de transposition, échangeant ainsi de position avec sa cratte préféré, cela l’a mis hors de portée du combat, il bloqua alors le puissant coup du iop, il avait assez de force pour cela, puis chargea son pouvoir de feu dans son poing et lança lui lança sa punition en pleine tête. Gelaw éclata alors de rire, un rire roque et grinçant, tel deux charbons se frottant entre eux, puis dit à l’iop :

« Je n’apprécie guère que l’on essaye de tuer mes amis, et encore moins mes amies, si tu vois ce que je veux dire, petite cervelle ! »

Le iop se releva, comme si l’attaque de Gelaw n’avait pas eu lieu, son visage était défiguré par la haine, il hurla alors :

« Tu oses protéger ma proie et en plus tu m’insultes, tu vas voir ce qui en coûte de se moquer du puissant Rerosieghar ! »

Il fonça alors en avant, leva son poing et l’abattit sur la tempe du sacrieur. Celui-ci n’essaya pas de l’esquiver, il encaissa puis chargea de nouveau son poing et envoya dans le ventre du iop, trois sangs pour sang, et une puissante punition, capable d’abattre une goule facilement, mais qui n’eut aucun effet sur Rerosieghar. Il ignora les coups qu’il avait reçut et en donna quatre autres dans le ventre, les cotés et le visage de Gelaw. Du sang coula le long de ses joues, mais il répliqua immédiatement en plaçant plusieurs sangs pour sang, punitions et cages de sang à intervalle régulier, dans l’unique espoir, d’au moins faire vaciller l’énorme corps de cet iop indestructible. Celui-ci ne tomba pourtant pas, malgré le nombre de coups reçut, il se contentait de redonner deux coups plus puissants pour chaque coup qu’il recevait de la part du sacrieur. Gelaw sentit ses jambes faiblir, ses bras répondaient moins vite à ses pensées, ses yeux commencèrent à se fermer doucement, il allait perdre ce combat, il le savait, et pourtant, dans un ultime effort, il plaqua la paume de sa main droite sur le torse de Rerosieghar, il concentra le peu d’énergie qui lui resté et lança sa dernière attaque. Toute sa puissance se concentra sur cet unique point, le feu jaillit, tel un jet d’eau sous haute pression, et transperça le corps du iop. Celui-ci ne put même pas hurler car la puissance et la chaleur de la flamme ainsi créer lui brula la totalité des organes en un instant, laissant devant Gelaw un semblant de cadavre, cuit à point par une nouvelle compétence spécialement créer pour être utilisé par Gelaw, « La transcendance des flammes ». Le corps de Rerosieghar s’écroula par terre, en touchant le sol il se désintégra en une multitude de particule de carbone, qui s’envolèrent au grès du vent naissant. Midi se leva en cet instant victorieux, Gelaw dut s’assoir, ce combat fut extrêmement rude même pour un sacrieur aussi puissant que lui, il souffla quelques minutes, puis se dirigea vers la position où gisait Feudoreé. Il se pencha sur elle et l’examina en détail, son arc avait été brisé ainsi que son bras, sa colonne vertébrale avait été également touché, en tout plus de 40% de ses os avaient été détruit pendant son combat.

« Je dois la faire soigner, pensa-t-il, mais qui pourrait bien m’aider ? »

Il réfléchit longuement à cette question, essayant de se rappeler de tous les membres de la guilde, et de trouver une eniripsa assez doué pour soigner Feudoreé. Il s’est alors souvenu d’une puissante eniripsa qui habiter non loin, la belle et puissante Succube, la plus grande soigneuse de l’Ordre des Boulets. Il prit Feudoreé dans ses bras et courut vers la maison de Le Succube, cela lui prit moins de temps qu’il n’aurait pensé, malgré le nombre de ses blessures. Il aperçut enfin, après deux heures de course à pied, une maison insolite, totalement peinte en rose bonbon et avec le toit couvert de pétale de rose, la porte était en forme de cœur et sa poignet était une jeune femme taillé à la main. Gelaw fut pris de nausée en voyant cet habitat et faillit faire demi-tour, mais se rappelant de la raison de sa venu, il prit son courage à deux mains et cogna à la porte. Une voix se fit entendre de l’intérieur de la maison, après un court gémissement, elle dit :

« Oh ! Des visiteurs ! Une minute, je mets un chemisier et une culotte et je suis à vous ! Hihihi ! »

Gelaw rougit, du bruit se fit entendre dans la maisonnette, puis la porte s’ouvrit sur une jeune eniripsa de seize ans, elle avait de nombreux atouts qui attirait le regard, elle ne portait, comme elle l’avait annoncé avant d’ouvrir la porte, qu’un simple chemisier, et une culotte qui n’était pas visible, pour l’instant… Gelaw baissa rapidement la tête en rougissant, Succube s’aperçut de son geste, rigola et lui dit en frottant ses mains sur son torse :

« Ne sois pas timide mon petit sacrieur adoré, tu vas me briser mon cœur si fragile… Tu es venu pourquoi dit-moi ? Un malade, une simple envie de me parler ou… autres choses ?

- Je suis ici pour mon amie, elle a besoin de soin d’urgence, j’ai besoin de toi, aide la, je t’en supplie. »

Il tomba à genoux, et supplia La Succube dans cette position de soumission ultime. La Succube le regarda avec des yeux ronds puis son regard se posa sur Feudoreé, elle sourit alors et lui dit en lui présentant son pied :

« Si tu me lèche le pied, je la soigne, sinon tu peux partir, je ne pourrais pas t’aider. »

Gelaw ne pouvait le faire, sa dignité l’en empêchait, pourtant, il devait sauver Feudoreé. Il soupira lentement, puis approcha sa bouche des pieds de La Succube, ses lèvres allaient rentrer en contact lorsque la maison trembla de toute part. Il stoppa son geste, se releva d’un coup et sortit de la maison en courant. Il vu alors un minuscule osamodas sur le dos d’un immense Mulou, il faisait plus de quatre mètres de haut, il avait un collier en or marqué au centre d’un chiffre, un « 12 ». Gelaw était encore épuisé par son combat contre Rerosieghar et par tout le chemin qu’il avait parcourut avec Feudoreé sur le dos. Il n’était pas sure de gagner ce combat contre le plus faible élément de l’ordre des chevaliers de l’horizon. Il se retourna et dit à La Succube :

« Si je bats cet ennemi, soigne Feudoreé, sinon je te laisse te débrouiller contre lui, à toi de choisir !

- Tsss, tu es malin, c’est d’accord, je vais la soigner tout de suite, dépêche toi de battre cet avorton. Par contre, j’espère grandement que tu acceptes de venir me voir un soir, tout seul, ici, pour que l’on fasse, des choses…

- Si tu veux, bon…. Je te laisse, il y a un petit osamodas qui m’attend ! »

Gelaw fonça sur le mulou, celui-ci leva sa patte et l’abattit sur le sacrieur, il évita ce coup, sauta sur sa tête et envoya une punition sur l’osamodas. D’une main il repoussa cette attaque, et envoya des flammes dorée sur le torse de Gelaw. Celui-ci tomba à la renverse sur le sol, il se releva mais ne put éviter le deuxième coup de patte du mulou, il fut écrasé au sol, il sentit des os se brisé mais les ignora et courut se mettre dans le dos du mulou. Il chargea sa puissance, et envoya sa nouvelle compétence en hurlant :

« Transcendance des flammes ! »

Un jet de flamme jaillit de sa paume et toucha le mulou, qui le transperça. Celui-ci s’écroula sans vie, Gelaw bondit alors sur l’osamodas, et lui lança une punition. L’osamodas esquiva, sortit un long couteau et transperça le bras gauche de Gelaw. Celui-ci, roula au sol en hurlant, du sang coulé le long de son membre meurtrit. L’osamodas se pencha sur lui, et lui dit d’une petite voix stridente :

« Tu pensais que j’étais faible n’est-ce pas ? Tout simplement parce que je porte le n°12. Mais sache que Dämondiente ne peut perdre contre un combattant usant de la puissance des flammes pour se battre ! Je vais te tuer ici, puis je vais m’occupé des deux femmes se trouvant dans la maison, et tu ne pourras rien y faire. »

Dämondiente leva son épée, Gelaw ne pouvait rien faire, il était paralysé. L’épée s’abattit sur lui, il ferma les yeux et attendit la mort, mais celle-ci n’arriva pas, il sentit au contraire une chaleur sur son visage. Il ouvrit les yeux et s’aperçut que l’osamodas était mort, une ronce lui avait tranché la gorge, et du sang coulé sur le visage de Gelaw. Il se releva doucement et vu une sadidette au visage joyeux qui le regardait. C’était elle sa sauveuse, une petite nouvelle dans l’Ordre des Boulets, mais aimé de tous par sa gentillesse et possédant un talent secret qui n’attend qu’à apparaitre, Soëline. Elle s’avança vers lui, le regarda dans les yeux puis sourie en lui disant :

« Qu’est-ce qui t’arrive Gelaw ? Je ne t’avais jamais vu perdre un duel pourtant, tu es malade ?

- On peut dire ça comme ça… Je suis en mission, je cherche des alliés pour nous aider dans u ne grande bataille qui approche, tu nous aideras ?

- Oh oui, j’adore me rendre utile !

- Très bien, on y va lorsque j’aurais récupéré Feudoreé. »

Il se leva, et se dirigea vers la maison de La Succube, il ouvrit la porte en criant :

« Alors, c’est bon, tu l’as soi…….. »

Il s’interrompit lorsqu’il vu la scène qui se déroulait devant ses yeux, La Succube en train de nettoyer le corps de Feudoreé à l’aide d’une serviette, jusqu’à là rien de choquant, cependant, les deux jeunes filles étaient complètement nue. Gelaw se retourna vivement en bafouillant :

« Mais, mais qu’est-ce que tu es en train de faire ?

- Bah, je nettoie le corps de ma malade, qui ne l’es plus, elle est guéris !

- Tans mieux, mais pourquoi tu es nu aussi ?

- Pour être dans l’ambiance, tu veux nous rejoindre ?

- Non c’est bon, réveille là on doit partir le plus tôt possible, une grande bataille nous attend.

- Si elle doit aller se battre, je vous accompagne. Je ne laisse pas un patient, tous juste guérit, allait se battre sans un médecin à coté. »

Elle se leva, s’habilla rapidement, pris un sac qu’elle remplit de diverses potions, réveilla et habilla Feudoreé d’un seul geste et sortit de la maison précipitamment. Gelaw se rendit au coté de Feudoreé, elle tourna la tête vers lui et lui dit :

« Merci, merci de m’avoir sauvé !

- C’est normal. Aller viens, la guilde nous attend, tu ne vas pas rester sur une défaite face à cet ordre ?

- Mais, mon arc est brisée, je suis inutile à présent…

- Ne t’inquiète pas, on a une sadidette assez doué avec nous, elle sera capable de réparer ton arc. »

Ils sortirent de la maison, se dirigérent vers Soëline et Gelaw lui demanda :

« Serais-tu capable de réparer son arc ?

- Si j’ai les morceaux en mains, rien de plus facile. »

Gelaw sortit les morceaux de l’arc brisé de Feudoreé et les tendit à la sadidette. Elle prit une profonde inspiration et répara en quelques secondes l’arc. Il était comme neuf, il dégageait même une puissante aura de puissance. Feudoreé remercie des dizaines de fois tout le monde puis ils se mirent en route vers le Q-G. Ils se reposèrent la nuit qui venait de tomber et arrivèrent le lendemain matin. Ils descendirent la colline et entrèrent dans la base et sous leur yeux est apparut une vision d’horreur. Stary Moon était empalé sur le mur intérieur du bâtiment principal, Gelaw fit trois pas pour aller voir si elle était vivante lorsqu’une gigantesque explosion se produit à l’entrée, l’armée ennemie était là, la bataille allait commencer, mais tous le monde n’était pas encore réunit.
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MessageSujet: Re: Bataille pour l'honneur!   Bataille pour l'honneur! Icon_minitimeDim 9 Déc - 4:58

(PS: javascript:emoticonp('Shocked') Deux chapitres le même jour! Mais qu'est-ce qui t'arrive Aoryane! Je suis juste trop bon! *rire* C'est partit pour le chapitre 9, bonne lecture.)

CHAPITRE 9 : La croisée des chemins : Stary Moon.


Nous sommes tous partit vers notre destin pour chercher des renforts et nous avons laissé seul Stary Moon, pour qu’elle s’occupe des blessés. Lorsqu’elle se retrouva seule, elle se dirigea immédiatement vers l’infirmerie pour y prendre des potions de soins et des bandages, elle s’occupa de soigner tous le monde tous le long de la nuit. Au petit matin, elle avait finis de guérir les blessés les plus graves, mais elle était épuisé, elle s’allongea par terre et essaya de dormir un peu. Cependant, dix minutes après avoir commencé à dormir, des cris la réveilla, les nouvelles recrues qu’elle avait soigné étaient en train de courir partout, ils étaient terrifié par quelque chose. Elle se leva rapidement et sortit pour connaitre la raison de toute cette agitation. Au moment où elle passa la porte, elle reçut un imposant coup de poing sur la tempe, elle fut projetée sur la gauche contre le mur. Elle gémit de douleur, se releva et regarda vers la porte. Il se tenait devant elle, une pandawa, qui l’a regardé avec dégout et mépris, elle portait sur l’épaule un imposant tonneau remplit de lait de bambou, un gros « 10 » en or marqué dessus. Elle s’avança vers Stary, l’attrapa par les cheveux et les secoua en lui disant :

« Ils sont magnifiques tes cheveux ! Ils sont bien plus beaux que les miens ! Tu dois les aimer ! Hein ! Tu dois les aimer tes cheveux ! Tu ne veux pas les perdre tes cheveux ! Hein ! Répond !

- Lâche-moi ! Tu me fais mal ! Je t’ai dis de me lâcher ! »

Stary lança son poing devant elle, il frappa la pandawa au ventre, qui eut le souffle coupé. Notre sacrieur en profita pour l’a repoussé à l’aide d’un coup de pied et s’éloigner d’elle. La pandawa retrouva son souffle, se redressa et jeta un regard féroce sur Stary Moon :

« Je déteste les filles comme toi qui pensent que tous ce qui compte dans la vie c’est la beauté ! Moi je n’ai jamais été belle ! J’ai uniquement été forte ! Je vais te tuer, sale truie ! Je vais te tuer d’une façon horrible et dégoutante !

- Mais qu’est-ce que je t’ai fais ?

- Tu existes ! Et cela m’insupporte ! Aller, en garde ! »

La pandawa but le lait de son tonneau, ses muscles sortirent, faisant disparaitre toutes les traces de féminité de cette jeune femme. Elle posa son tonneau puis invoqua une immense épée en bambou, elle l’attrapa à deux mains et chargea Stary Moon. Elle essaya de la trancher, mais elle esquiva en se baissant, elle chargea son poing et frappa au visage. La pandawa ne sentit même pas le coup qu’elle venait de subir, elle répliqua immédiatement en frappant Stary. Sa force brute étant énorme, notre sacrieur fut écrasé au sol, son crâne se fissura et du sang coula de ses yeux, de sa bouche et de ses oreilles. La pandawa éclata de rire devant ce spectacle.

« Tu n’es plus très belle maintenant ! Qu’est-ce que ça fait d’être à terre, dominé par un être plus moche que toi ? »

Elle se pencha et attrapa les cheveux de Stary Moon.

« Alala, ma pauvre petite sacrieur, la beauté ne sert absolument à rien lors d’un combat ! Tout le monde sait ça ! Tu es inutile, tous ce qui ont osé te faire confiance ont dus le regretté et ne plus jamais le refaire ! »

A ces mots, Stary Moon se rappela de la mission qu’on lui avait donnée. Elle devait soigner les blessés et accueillir les nouveaux venus qui viendraient les aider dans cette guerre. Si elle mourait ici, qui pourrait remplir cette mission. Elle ne devait pas mourir, elle allait gagner qu’importe la manière, même si cela devait lui coutait sa beauté. Stary fit alors quelque chose que ni moi, ni la pandawa et encore moins Kanapey n’aurait put penser qu’elle ferait. Elle prit une dague dans son sac et l’utilisa pour couper sa magnifique chevelure. Les nombreuses touffes tombèrent sur le sol recouvert de poussière, la pandawa n’en croyait pas ses yeux, elle ne vit même pas la dague trancher l’air pour venir lui transperçait le cœur. La dague fit couler son sang, elle suffoqua quelques instants avant de s’écrouler en silence sur le sol. Sa vie se termina ainsi, sans qu’elle ne puisse rien faire, elle devait être triste de mourir ainsi, et pourtant elle était contente d’une certaine manière, car à la toute fin de sa misérable vie, elle a eu la preuve qu’une personne possédant la beauté pouvait la sacrifier pour le bien de ses amis. Stary Moon retira sa dague du corps de la pandawa, elle respirait doucement, elle était extrêmement fatiguée, elle se dirigea vers le bâtiment pour y aller dormir lorsqu’elle sentit une présence menaçante derrière elle. Elle se retourna et vu qu’un homme de grande taille était apparut à coté du corps de la pandawa. Son sang se glaça, ses mains se mirent à trembler, ses jambes faillirent la lâcher lorsqu’elle s’aperçut de l’identité de l’individu, il s’agissait de Akukami, le chef de l’ordre des chevaliers de l’horizon. Celui-ci se mit à genoux à coté du corps de sa camarade morte au combat, il caressa son visage puis concentra son énergie dans sa main et fit exploser son corps. Des bouts de chaires volèrent de toute part, plusieurs d’entre eux tombèrent sur Stary Moon, qui s’en débarrassa le plus vite possible et criant et pleurant. Akukami la regarda avec un regard interrogateur et lui demanda :

« Pourquoi pleures-tu donc ? C’était ton ennemie, elle voulait te tuer, et elle n’aurait pas pleuré ta mort !

- Mais pourquoi, pourquoi mutiler son corps ?

- Un membre des chevaliers de l’horizon ne doit pas perdre, ou c’est la mort qui l’attend, c’est ainsi que ça ce passe chez nous !

- Mais, c’est horrible !

- Tu es trop faible, comment Pandracho a-t-elle put perdre ainsi, elle a dus avoir un moment d’inattention face à toi, tu as de la chance petite, mais, contre moi, ce ne sera pas pareil ! »

Stary Moon voulut lui demander la raison de cette phrase, mais Akukami c’était déjà téléporter à coté d’elle. Elle ne put rien faire, le sacrieur fit apparaitre une grande pique de fer noire, recouverte de sang. Il l’a pris, l’enfonça dans le ventre de Stary Moon et la poussa jusqu’au mur au fond du bâtiment où elle fut empaler. Sous l’effet de la douleur elle vomit du sang et s’évanouit. Akukami lâcha la pique et sortit doucement du bâtiment, à la sortie l’attendait un de ses sous-fifres, il portait une cage dans sa main droite et un message dans sa main gauche. Son maître s’arréta a coté de lui et lui dit :

« Envoi ce message à qui-tu sais !

- Bien Maître ! »

Il ouvrit la cage, un gros bouftou de guerre en sorti, il lui attacha le massage puis lui indiqua la direction à prendre et le lâcha. Le bouftou courut à toute vitesse vers l’Est. Le sous-fifre se tourna vers son Maître et lui dit :

« C’est fait maître !

- Tu n’en as parlé à personne ?

- Non Maître, nous sommes les deux seuls personnes à savoir qu’un message est partit aujourd’hui et qui en est le destinataire !

- Bien, bien, tu as bien travaillé, tu vas être récompensé, …, tous de suite ! »

Akukami frappa la tête du petit homme, elle explosa, son corps tomba à terre et roula doucement sur le coté. Le Boss se redressa, tourna vers l’Est et partit, juste avant de disparaitre il dit au cadavre :

« Je suis navré pour toi, mais, je ne fais confiance à personne ! »
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MessageSujet: Re: Bataille pour l'honneur!   Bataille pour l'honneur! Icon_minitimeDim 9 Déc - 6:51

MES CHEVEUX !!!!
Non seulement je meurs mais en plus je meurs les cheveux mal coupés, quelle horrible histoire T.T
La suite *o* !
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Aoryane

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MessageSujet: Re: Bataille pour l'honneur!   Bataille pour l'honneur! Icon_minitimeMer 12 Déc - 5:59

(PS: Pour m'excuser du retard de ce chapitre, le seigneur Aoryane a décidé de vous donné un chapitre en avant-première, le numéro 10. Comment ça? C'était le chapitre prévu de toute façon? Ah! Bon, bah t'en pis! Voilà le chapitre 10, et pas de cadeau pour le retard! A part, la grandeur du chapitre, spécialement pour une petite nouvelle, Dhexys, et notre chef adoré Kanapey. Bonne lecture.)

CHAPITRE 10 : La croisée des chemins : Kanapey
Ceux qui eurent le malheur de croiser Kanapey ce soir-là, où nous nous sommes tous séparé, vont tous vous répéter la même chose. Ils ne virent pas un sacrieur ce soir là passer à toute vitesse à coté d’eux. Ils ne virent qu’un démon, un démon assoiffé de sang et de violence courant vers un combat qui lui était destiné et qu’il allait pratiquer qu’importe la manière ou les obstacles. Dans ses yeux on ne pouvait rien y lire à part la rage de combattre et le désir de vengeance. Il passa sous les arbres si rapidement que les feuilles prirent feu, l’herbe s’arracha sous son passage, les animaux s’enfuirent lorsqu’ils entendirent son arrivé et son chemin laissa une étrange lueur rouge pendant toute la nuit. Lorsque le matin se leva, il n'a pas eu besoin de s’arrêter, sa colère était d’une telle ampleur qu’elle l’immunisait contre la fatigue ou la faim. Il continua de courir, plus loin, plus vite qu’il pouvait, sans pour autant croiser personne, que ce soit allié ou ennemi. Lorsque midi sonna, il était celui se trouvant le plus loin du point de départ entre nous tous. Il décida de s’arrêter, non pas par fatigue mais par pure caprice, il s’assit sur une pierre et regarda le ciel, il le regarda si longtemps et avec autant d’enthousiasme qu’il n’entendit pas l’ombre inquiétante s’approcher de lui tout doucement dans son dos. Deux mains se levèrent dans le ciel et s’abattirent sur le dos de Kanapey. Il fut surpris et tomba dans la poussière la tête la première, l’ombre ria de la position du sacrieur sur le sol. Celui-ci, extrêmement énervé par cette blague idiote, se retourna vivement près à massacré la cause de cette plaisanterie lorsqu’il reconnut l’ombre, c’était une iopette de taille moyenne, possédant de bon atouts, toute jeune dans l’Ordre des Boulets et déjà grande rivale de Kanapey, il s’agissait de Dhexys. Elle s’arrêta de rire lorsque Kanapey la regarda et lui dit :

« Qu’est qui ce passe mon p’tit Kaka ? On a un gros chagrin ? La méchante Dhexys t’as poussé et t’es tombé, tu t’es fait mal ? T’as besoin de soin ? Tu veux de l’aide ? Pauvre bébé !

- De tous les membres de l’Ordre des Boulets, le tout dernier que j’aurais aimé trouver pour qu’il nous aide dans la bataille qui va arriver, cela aurait était sans hésiter toi ! Même un chacha écrasé à plus d’utilisé que toi !

- Me fais pas rire Kaka, si tu participes à la moindre bataille, qu’importe soit l’adversaire, il n’aura pas besoin de bouger pour gagner, tu te chargeras d’assommer tous tes alliés puis de te mettre KO tout seul tellement t’es bête !

- Ne m’énerve pas trop tu veux bien, je suis déjà de mauvaise humeur aujourd’hui, vaudrait mieux ne pas vouloir venir me faire chier !

- Eh ben ! Mon Kaka qu’est-ce qui t’arrives encore ? Un méchant mulou à encore fait ses besoins sur toi ? T’es tellement insignifiant qu’il ne prend même pas la peine de voir si tu es en dessous avant de chier !

- Je ne me suis jamais fait chier dessus par un mulou ! C’est ces maudits membres de l’Ordre des chevaliers de l’horizon ! Ils m’ont humilié ! Si je les trouve ça va barder !

- Ah, Myaaa, tu vas nous faire quoi si tu nous rencontre de nouveau, Myaaa? »

Une ecaflip qui venait de sortir des bois avait dit cette phrase comme pour rentrer dans la discussion entre Kanapey et Dhexys. Cependant, ces deux là l’ignorèrent et continuèrent leur dialogue comme si ils n’avaient pas été coupés. C’est Dhexys qui continua la première :

« Tu t’es fait humilier par quelqu’un ? Cela ne te change pas de l’habitude ! Tu dois en être habitué maintenant !

- Pour la dernière fois Dhexys, tu arrête immédiatement de me parler sur ce ton ou je vais exploser ta sale face !

- Comme si tu en étais capable mon p’tit Kaka ! »

L’ecaflip essayait de renter dans cette conservation tans bien que mal, mais sans effet sur nos deux amis :

« Excuser moi, Myaaa…

- C’était mon dernier avertissement, prépare toi à prendre chère. On va voir si ton cul résiste aussi bien à mes coups de pied que tes miroirs face à ta face de sorcière !

- Faudrait déjà que tes pieds soit assez habile pour m’atteindre, tu pourrais réussir à rater un craqueleur dans un couloir !

- S’il vous plait, Myaaa…

- Je vais te montrer toute ma puissance sale petite iop, je vais te renvoyer jusqu'aux faubourgs de Sufokia que tu n’aurais jamais dus quitter !

- J’en profiterais pour te ramener des vêtements, faut quand même que tu sois un minimum indécent devant les nouveaux membres de la guilde ! Il ne faudrait pas que tu leur fasses peur avec ta maladie de peau !

- Vous pouvez vous occuper de moi, Myaaa…

- Ma maladie de peau ? Ma peau est si brillante qu’elle agit comme un miroir, la maladie de peau que tu vois en me regardant c’est ta tronche de rat qui se reflète dedans !

- Je n’ai qu’à briser ce miroir en mille morceaux pour te prouver que tu es comme lui, cassé, salle et insignifiant ! »

L’ecaflip sentit son calme s’effriter, sa colère monter jusqu’à sa gorge et ses mains trembler. Elle ouvrit alors grand la bouche et hurla à s’en casser sa voix :

« Assez, Myaaaa ! »

Nos deux amis s’interrompirent dans leur dispute et remarquèrent enfin la nouvelle venue, elle était à bout de souffle. Elle respira lentement, se redressa et leurs annonça d’une voix forte :

« Je suis Suertefeli, Myaaa, le septième membre de l‘ordre des chevaliers de l’horizon et je suis venus jusqu’ici pour tuer tous les membres de l’Ordre des Boulets que je verrais, Myaaa. Je m’en excuse donc mais, Myaaa, c’est par vous que je vais commencer, Myaaa. »

Kanapey la regarda lentement puis en caressant ses poings et en se léchant les lèvres, il lui demanda :

« Tu es vraiment un chevalier de l’horizon ?

- Bien sure, Myaaa ! Regarde, Myaaa, mon numéro est marqué sur mes dés, Myaaa ! »

Elle sortit de sa poche deux dés, toutes leurs faces étaient marquées par un « 7 » en or. Elle leva la tête pour voir la réaction de Kanapey, mais elle fut si surprise par celle-ci qu’elle lâcha ses dés. Tout autour du sacrieur, une aura rouge et noire était apparut, une aura de mort et de peur, une aura terrifiante. Suertefeli s’éloigna rapidement de lui et se mis en garde. Elle le savait, cet adversaire allait être redoutable. Kanapey se mit également en garde et se prépara à attaquer, Dhexys lui demanda juste avant :

« Tu veux que je t’aide mon p’tit Kaka, tu pourrais te blesser tu sais ?

- Contre quelqu’un d’aussi faible, pas besoin d’un allié ! Tais-toi, regarde-moi et admire un champion à l’œuvre ! »

Il s’élança alors en avant, son poing brandit et frappa de toutes ses forces le ventre de l’ecaflip. Elle fut projetée en arrière, Kanapey pensait que c’était fini, mais ça ne faisait que commencer. Elle fit une pirouette et retomba sur ces pieds, elle fit un « V » avec sa main droite en la tendant vers notre sacrieur et cria :

« Luck, Myaaa ! »

Kanapey fut extrêmement agacé par cette phrase, il renfonça et frappa deux fois dans les cotes. Il était sure de l’avoir touché pourtant elle fit deux petits bonds pour se mettre hors de portée et répéta la même phrase avec la même pose :

« Luck, Myaaa !

- Où est la chance là-dedans, hurla Kanapey, je t’ai touché tu n’aurais pas dus t’en sortir sans dommage !

- C’est le pouvoir de la chance, Myaaa, au moment où tu m’as touché ma chance a fait que tu n’as pas touché un point vital et qu’en plus ta force avait baissé de moitié, Myaaa ! C’est le plus puissant pouvoir que je connaisse et en plus c’est le mien, Myaaa !

- Tu vas voir ! »

Kanapey répéta les même actions plusieurs fois d’affiler mais rien ne changea, à chaque fois, c’était le même plan, le coup atteint sa cible, elle s’éloigne, elle crie « Luck, Myaaa !» avec sa pose et c’est repartit. Au bout de la trentième fois, Kanapey commença à fatiguer, il souffla comme un minotoror et des grosses gouttes de sueurs coulées sur son front. Suertefeli choisit ce moment pour déclarait :

« Mon pouvoir t’embête non, Myaaa ? Mais apprend qu’il ne sert pas qu’à la défende, Myaaa, il sert aussi à l’attaque, Myaaa ! Démonstration, Myaaa ! »

L’ecaflip se retrouva en un instant à coté de Kanapey, elle le frappa dans ses cotés, il ne put esquiver à cause de la fatigue, puis s’éloigna en comptant :

« 5, 4, 3, 2, 1, Myaaa! »

Au moment où le « Myaaa » sortit de sa bouche, Kanapey sentit un immense choc le frapper au niveau du coup donné par Suertefeli. Ses pieds quittèrent le sol pendant quelques secondes, il s’envola dans les airs puis retomba comme un sac sur le sol, il hurla de douleur et cracha du sang. Suertefeli se retourna et repris sa pose et cria d’un air ravi :

« Luck, Myaaa ! »

Kanapey se releva péniblement, il regarda l’ecaflip d’un regard noir, celui-ci ne l’effraya pas. Il le savait, et elle aussi, il n’avait plus de doute dans l’issu de ce combat, il allait perdre. Suertefeli fonça de nouveau sur lui et le frappa plusieurs fois, cinq secondes après chacun de ses coups, les dégâts apparaissaient sur le corps de Kanapey, plus grands et plus douloureux à chaque fois. Kanapey avait abandonné tous espoirs de victoire, il quitta sa garde et attendit la mort, cependant une ombre qu’il avait oublié se rapprocha rapidement de lui et le gifla. C’était Dhexys, elle était folle de rage, elle lui cria :

« Qu’est-ce qui t’arrives Kanapey, je me rappelle pas qu’un faiblard pareil soit mon rival ! Relève-toi et botte-moi les fesses de cette salope ! »

Dans l’esprit de Kanapay se fut comme un déclic, il n’y avait plus d’abandon possible à présent. Il n’avait que la victoire et la mort de cette ecaflip dans son cœur. Il se releva doucement, son énergie sombre revint et sa puissance légendaire également. Il se mit en garde, prêt à mordre et à tuer ! Suertefeli rigola, elle fit tourner son bras plusieurs fois en disant :

« T’en veux encore, Myaaa ? J’arrive, Myaaa ! Mes coups de luck vont finir par te tuer, Myaaa ! Ensuite je m’occupe de ta copine, Myaaa !

- Approche, je vais te montrer qui est le prédateur ! »

Suertefeli s’élança la première, elle leva son poing pour frapper, mais Kanapey, de par sa puissante volonté, réussis à esquiver, il répliqua immédiatement avec un coup de pied dans la mâchoire. L’ecaflip fit plusieurs tours sur elle-même avant de se mettre en pose et de dire :

« Luck, Mya… ! »

Kanapey ne lui laissa pas le temps de finir sa phrase et lui donna immédiatement un autre coup, qui fut aussi sans effet, mais l’ecaflip fit la grimace. Après des pirouettes, elle se mit droite et regarda d’un œil mauvais Kanapey :

« Tu es méchant de m’interrompre, Myaaa, je ne suis pas… »

Kanapey ne lui laissa de nouveau pas le temps de finir, il frappa de nouveau, au ventre cette fois. Il fut sans effet, et pourtant, Kanapey sentit que s’il continuait de cette façon, il gagnerait. Il enchaina alors, il fit plusieurs combo, de plus en plus fréquent et rapide, au bout du dixième assaut, Suertefeli eut son premier cri de douleur, son pouvoir ne fonctionnait plus. Kanapey ne laissa pas un instant de répit à Suertefeli, il enchaina ses coups à toute vitesse, son sang gicla, des bleus apparaissaient rapidement sur tous son corps, elle vomit plusieurs fois avant de s’écrouler. Kanapey leva alors les bras en l’air et hurla de tous son soul sa victoire à ceux qui pouvait l’entendre. Ce cri réveilla pour un ultime instant la conscience de Suertefeli, elle avança sa main jusqu’au torse de Kanapey, dans l’espoir de lui infliger un minimum de blessure avant de mourir, cependant sa force la quitta et ce sont uniquement les bouts de ses doigts qui frôlèrent le torse du sacrieur. L’ecaflip tomba alors la tête la première dans la boue, sa vie était partie, un nouveau membre des chevaliers de l’horizon avait périt. Dhexys s’avança près de Kanapey, lui tapa dans le dos et lui dit :

« Heureusement que j’étais là, sans moi et mon intervention t’y passer mon p’tit Kaka.

- Oui, c’est vrai, je te remercie, Dhexys. »

Elle fut surprise d’entendre de tels mots sortirent de la bouche de Kanapey, elle le regarda avec les yeux ronds avant de lui demander :

« Et sinon ? Elle se déroule où cette bataille ? J’ai hâte de me réchauffer mes muscles sur cet ordre !

- Eh eh eh, elle aura lieu à notre Q-G, vas-y vite ! Je te rejoins après.

- Ne me dis pas que tu es fatigué ? Aller, on se retrouve là-bas, à tous de suite ! »

Dhexys s’élança alors à toute vitesse en direction du Q-G, Kanapey sourit et avança également. Après avoir fait trois pas, son cœur s’emballa, il infligea de terribles douleurs à Kanapey, il le sentait battre dans sa poitrine, battre de plus en plus doucement.

Boum, Boum, Boum…

Il continua à avancer et rentra dans la forêt, il s’appuya contre un arbre un instant.

Boum, Boum, Boum…

Ses pensées commencèrent à venir, et des mots sortirent de sa bouche dans qu’il ne l’ait commandé : « Je ne peux pas… mourir ici… je suis… le plus fort…. »

Boum, Boum…

« Ils m’attendent… je dois les aider…. Que vont-ils faire…. Sans moi…. »

Boum, Boum…

« Stary… elle est seule… je dois l’aider… je dois voir… si elle est vivante… »

Boum, Boum…

« Je dois encore… la voir… lui parler… la toucher… l’aimer… »

Boum…

« Elle… elle… ne m’a… pas encore… entendu… »

Boum…

« Lui dire… « Je t’aime »… »

Boum…

« Les amis… je… suis… désolé… je ne serais… pas là… pour le rendez vous. »

BOUM

Un frisson passa dans le dos de Dhexys qui continuer à courir, elle s’arrêta alors, tourna la tête derrière elle et dit :

« Kanapey ? »

Elle attendu un instant avant de continuer son chemin, elle arracha au passage une feuille d’un arbre. Cette feuille fut portée par le vent, elle voleta doucement parmi les arbres, avant de descendre très lentement et de se poser tendrement sur une épaule, une épaule froide, une épaule d’un sacrieur, un sacrieur adossé contre un vieux arbre, du sang coulant le long de ses joues. Ce sacrieur était mort, après un rude combat, il était mort sans qu’aucun témoin n’assiste à la scène. Un oiseau s’envola alors, et eu un cri plaintif avant de s’éloigner dans le ciel. Kanapey, puissant guerrier de l’Ordre des Boulets, mourut ici, son cadavre adossé contre un arbre, la tristesse dans son cœur mais le sourire au visage, après avoir pensé à la guilde qu’il aime.
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Kanapey

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MessageSujet: Re: Bataille pour l'honneur!   Bataille pour l'honneur! Icon_minitimeMer 12 Déc - 8:37

La guilde est donc géré par un Zombie? xD
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Feudorée

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MessageSujet: Re: Bataille pour l'honneur!   Bataille pour l'honneur! Icon_minitimeMer 12 Déc - 18:32

C'est Kanashnikov notre Gm pas Kanapey ^^! T'as mis le lead sur le cra donc c'est notre chef =P C'est moi qui ai dis ca à Aoryane mdr
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Aoryane

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MessageSujet: Re: Bataille pour l'honneur!   Bataille pour l'honneur! Icon_minitimeVen 14 Déc - 8:51

(PS: Qu'est-ce qui est plus salaud? Ne pas mettre d'épisode pendant un mois entier, ou bien, en mettre un, mais, le couper au moment où le meilleur combat commence? Réfléchis-y, pendant votre lecture. Bon chapitre 11 à tous, le prochain chapitre ouvrira le dernier acte de le Bataille pour l'honneur, l'ultime bataille. Restez connecté mes petits boulets. Bonne lecture.)


CHAPITRE 11 : La croisée des chemins : Kanashnikov.

Suivons le dernier membre que nous avons quitté lors de notre séparation. Notre chef bien aimé, le tout puissant Kanashinkov. Il fut celui qui marcha le plus lentement, il savait exactement où aller et il prenait tout son temps pour y parvenir, car rien ne pressait. Le soleil se coucha doucement sur l’horizon, il fit une halte rapide avant de reprendre la route de nuit. Il n’avait pas besoin de lumière pour trouver son chemin car c’était le destin lui-même qui guidait ses pas. Il marcha toute la nuit, ne croisant que des bêtes sauvages très agressives, qui s’enfuirent lorsqu’elles sentirent la puissance de cet étranger qui passait sur leur territoire. Tandis qu’il marchait, toutes ses pensées étaient rassemblées en un même point. Il se remémorait toutes les personnes que nous avions croisées, toutes les paroles qu’elles avaient prononcé, tous les gestes qu’elles avaient faits et tous les indices qu’il pouvait y trouver. Il se concentra surtout sur les deux personnages qui l’inquiétaient le plus : le chef de cette guilde ennemi au nom inconnu de tous, Akukami, sa puissance étant d’une valeur incalculable, et son but dans cette histoire l’étant tout autant, il était celui dont il fallait le plus se méfier. Mais, la deuxième personne qui inquiéter Kanashnikov, était la personne la plus improbable, il s’agissait de Wertrazing, le numéro 9 de l’ordre des chevaliers de l’horizon. Pourquoi lui et pas un membre plus puissant ? Parce que pour notre chef, il est le plus puissant de l’ordre. Il est juste le numéro 9 mais il possède une aura semblable à celle de Akukami, il est donc aussi dangereux que lui. Si jamais, il devait réapparaitre en temps qu’ennemi, et qu’il allie sa véritable puissance avec celle d’Akukami, notre destin sera alors totalement tracé. Il n’y aurait plus droit au doute ou à l’espoir d’une victoire. La mort sera la seule à nous attendre. Il fallait empêcher cela, en abattant l’un des deux le plus rapidement possible. A force de penser et de réfléchir sur l’avenir de la guilde, le soleil s’était lev é et ses rayons réchauffèrent la peau froide de notre cra. Il leva alors les yeux et reconnut immédiatement l’endroit où il se trouvait. Il était debout, au milieu d’une clairière, une clairière se trouvant au cœur d’une forêt insignifiante de par sa taille dans ce monde si imposant. N’importes qui d’autres ne penseraient pas trouver âmes qui vivent dans cette endroit reculé du monde. Mais, Kanashnikov n’est pas n’importe qui, il est le chef de l’Ordre des Boulets et il est sans nul doute l’un des plus intelligents du monde des douze. S’il pense qu’il se trouve au bon endroit, cela signifie qu’il est au bon endroit. Il se baissa et examina le sol, il y décela la présence de récentes traces de pas, déposé par des minuscules pieds, ceux d’un eniripsa. Il se releva et après avoir toussoté légèrement pour laver sa gorge sèche, il dit avec une voix haute et forte pour que toute personne cachée près de lui puisse l’entendre :

« Sort de ta cachette, qui que tu sois. Ne reste pas dans l’ombre et affronte moi de face à la lumière de ce soleil levant resplendissant. »

Un arbre se trouvant à sa droite remua alors, il en descendit une jeune eniripsa, brune avec des tresses lui tombant dans le dos et une belle paire d’ailes noires. Elle se plaça bien en face de Kanashnikov et lui dit avec un sourire :

« Je n’attendais pas moins de la part du chef de la guilde qui osa humilier notre boss. Tu as en face de toi, le numéro 11 de l’ordre des chevaliers de l’horizon, la surprenante Curaimpo. Soumet toi face à une telle splendeur ! »

Kanashnikov ne fit aucun mouvement et ne dit rien. Curaimpo sentit sa patience la quitter, elle commença à taper du pied et en pointant le visage du cra elle lui dit :

« Ah, je sais ce que tu te dis, elle n’est que le numéro 11, elle est la plus faible, pas besoin de m’inquiéter… Mais détrompe-toi ! Je ne suis pas aussi faible que tu le crois ! Et je le prouve tout de suite ! »

Elle commença alors à enlever les boutons de son chemisier, un par un, jusqu’à ce qu’il n’en reste plus aucun d’accrocher. Elle ouvrit alors sa chemise en grand, un claquement prouva la présence d’objets autour du cou de Curaimpo. Il y avait en effet 6 médaillons, soudé entre eux, trois par trois, pour former deux un, et ainsi un « 11 ». Chaque médaillon était marqué au sang d’un numéro. Ils avaient tous la même forme et le dessin de la partie inférieur était le même pour tous, une plaine vert. Seul la partie supérieur différée, le médaillon marqué du numéro 12 avait un igloo comme dessin supérieur, le numéro 11 avait un rocher, le numéro 10 avait une étoile, le numéro 7 avait un serpent, le numéro 6 avait un iop en uniforme, le dernier médaillon était totalement vierge et ne porté aucun numéro. Curaimpo sourit et déclara :

« Tu vois, c’est la preuve que je suis la plus forte. Lorsque l’on rentre dans l’ordre des chevaliers de l’horizon pour la première fois on nous attribut un numéro correspondant à notre force et un médaillon. Avec le temps qui passe, notre force évolue, et l’on dépasse notre ancien niveau, pourtant on ne peut changer notre classement de départ. L’unique manière que nous ayons de prouver notre puissance est de défier un autre membre de l’ordre en combat singulier. Si on gagne ce match, on obtient le droit de lui voler son médaillon. Tu as comprit à présent ? J’ai vaincu par défi chaque membre qui ne soit pas dans le top 5, je suis la plus puissante ! Je ne possède pas le médaillon du numéro 8 car elle ne voulait pas se battre, ni celui de Wertrazing car il faut le mettre à part. Maintenant que tu connais la dure réalité, tu peux faire tes prières car tu vas mourir ici ! »

Kanashnikov banda alors rapidement son arc, et juste avant de tirer, dit simplement :

« Que tu sois forte ou non, contre moi, cela ne change rien. »

Il tira, la flèche partit à toute vitesse et se planta dans la tête de Curaimpo avant d’exploser lourdement, éparpillant les membres de l’eniripsa de tous les cotés. Kanashnikov rangea son arc, se retourna et s’en alla. Un grésillement le força à s’arrêter, il se retourna et la vision de ce qu’il aperçut le paralysa. Les bouts de chairs carbonisées commencèrent à se rassembler au même endroit et à se recoller, formant à la fin une informe boule de chair. Un squelette se reconstitua juste derrière et se leva lentement, il ouvrit alors la bouche et avala une partie de la boule se trouvant à ses pieds. Des muscles apparurent alors sur son avant-bras. A chaque bouchée un peu plus de muscles, de nerf puis de peau apparaissaient sur les os de ce squelette. La boule fut complètement avalée après quelques minutes, un corps informe se trouver devant Kanashnikov. De ce corps dégoulinait du sang putride et puant, ses orbites étaient totalement vides et noires, ses mains semblaient carbonisés et ses cheveux étaient semblable à des boyaux pourris et moisit. Cette monstruosité se redressa doucement et se mit face à Kanashikov, elle entrouvrait ses mains et, après quelques instants, de la poussière bleuté s’en échappa et commença à tournoyer autour de ce monstre. La poudre, à chaque tour, réparait les impuretés de ce corps difforme et lui rendait une forme humaine. Après une vingtaine de tours le corps de Curaimpo avait retrouvé son aspect d’origine. Elle était totalement nue, mais pour quelques secondes uniquement, car des habits neufs l’habillèrent l’a rendant plus belle qu’auparavant. Elle coiffa ses cheveux puis regarda Kanashnikov du coin de l’œil et lui dit :

« Je te présente mon plus puissant pouvoir, « La marche du condamné », grâce à lui, qu’importe soit la blessure que je subis, elle sera immédiatement soigner. Mais le plus fort avec lui, c’est qu’il dure infiniment et qu’il ne coûte aucune énergie. En résumé, amuse-toi autant de temps que tu veux pour me tuer, je reviendrais en pleine forme à chaque fois, jusqu’à ce que tu tombe de fatigue à terre. »

A peine avait-elle finis sa phrase que toute la partie droite de son corps disparut. Kanashnikov avait de nouveau tiré une flèche qui explosa et détruisit le corps de l’eniripsa. Cependant, quelques secondes plus tard, son bras avait repoussé. Curaimpo rigola, elle s’étouffa à moitié. Elle souffla quelques secondes puis dit :

« Abandonne ! Tu ne peux me vaincre ! »

- Moi ? Jamais ! Je n’abandonnerais jamais un combat que j’ai commencé ! »

Kanashnikov tira de nouveau, la terre explosa, le corps de l’eniripsa aussi, mais seul le sol le resta. La résurrection de cette femme semblait inévitable, quelques fois l’attaque qu’on lui portait. N’importe qui d’autre abandonnerait immédiatement le combat, mais Kanashnikov n’est pas comme les autres personnes, il leurs est supérieur en tout point. Il tira, tira encore et toujours, tout en réfléchissant à un moyen de la vaincre. Il essaya toutes les techniques qu’il pouvait trouver : la destruction totale du corps n’a pas marché, la focalisation d’une unique partie du corps n’a pas donné de bon résultat, l’attaquer pendant qu’elle se régénère n’apporte rien. Kanashnikov, malgré son intelligence supérieure et sa puissance inhumaine, commença à douter de sa victoire. Il ne trouvait aucune solution à ce casse tête, de plus, les rires répété de Curaimpo commençaient à l’affecter et à lui échauffé l’esprit. Il perdait de plus en plus sa patience légendaire, ses tirs se firent plus grossiers, ne blessant que légèrement l’eniripsa, ses rires se firent plus présent en conséquence. Les tirs du cra se firent de moins en moins fréquents, avant de s’interrompre complètement. Kanashnikov tomba à genoux dans la poussière, Curaimpo rigola de toute son âme, elle s’avança vers lui, sortit un couteau de son sa poche et le plaça sous la gorge de notre chef. Elle lui fit levait sa tête avec sa main, le regarda dans les yeux et lui dit :

« Comme tous les autres, tu as perdu de la même façon. Epuisé par un combat en sens unique. D’habitude je ne fait que leur prendre du sang et leur médaillon, mais avec toi ce sera différent. Puisque je vais te tuer, je vais te révéler mon secret. Ma régénération se fait au niveau moléculaire, l’unique moyen de me battre, se serait de me détruire complètement la totalité de mes molécules, sans en laissant une seule, pour que je ne puisse me reconstruire. Mais bon, même en sachant cela, personne n’est assez puissant pour le faire. Aller, adieu mon petit chef de l’Ordre des Boulets. »

Elle appuya alors sur le couteau pour trancher la gorge de son adversaire mais quelque chose bloqua sa main. Elle se demanda pour quelle raison son couteau ne voulait pas bouger et aperçut que la main de Kanashnikov était posé sur la sienne et l’empêcher de mouvoir. Il se leva alors, en tenant toujours fermement Curaimpo à l’aide de sa main gauche, et souleva son adversaire. Il dit alors :

« Laisse moi te dire deux choses : La première étant un remercîment, sans ta dernière indication jamais je n’aurais put te battre, et la deuxième étant une indication avant que tu ne meurs, sache que le nombre de flèche que j’ai utilisé jusqu’à présent n’ont même pas réussis à faire baisser ma puissance maximum de 1%. Maintenant, adieu ! »

Il la repoussa, elle tomba en arrière et se retrouva sur les fesses. Kanashnikov chargea son arc, il brilla de mille feu avant de prendre une teinte orangée, il visa alors le ciel et tira. La flèche partit à une vitesse prodigieuse, à l’aide de la force exercée sur elle au moment du tir, elle quitta l’atmosphère et se dirigea vers un astéroïde passant à moins de 10 kilomètres de notre monde. Elle se planta en son cœur et la poussa. Elle fit alors une rotation et retourna à toute vitesse sur terre, à cause des frottements de l’atmosphère l’astéroïde diminua fortement de taille, atteignant une dimension de 10 centimètres. L’astéroïde et la flèche planta dedans plongèrent sur Curaimpo. Elle fut frappée de plein fouet, son corps s’embrassa avec une telle chaleur que même ses molécules commencèrent à bruler. Elle hurla de douleur avant de disparaitre de la surface de ce monde. Kanashnikov rangea son arc sur son dos, se retourna et continua son chemin. Le soleil commençait à descendre lorsqu’il atteint une zone recouvert de roches taillées. Cette zone était celle qu’il cherchait lorsqu’il était partit vers l’Est. Il savait que quelque chose de très important aller s’y dérouler et que pour l’avenir de ce monde, il fallait qu’il s’y rende. Il s’avança jusqu’au centre de la zone faiblement éclairé par diverses torches placé un peu partout, que ce soit sur les rochers ou sur les arbres alentours. La nuit se leva à peine qu’il sentit une présence, une aura noire et meurtrière s’approchait d’ici. Il se retourna et aperçut un homme s’avançait vers lui. Il le reconnut immédiatement, celui qu’il craignait le plus, Akukami, il était venu jusqu’ici pour lui parler ou pour une autre raison inconnue. Akukami s’arrêta à quelques pas de Kanashnikov, le regarda et sourit. Il leva les bras et déclara :

« Sais-tu quel est cet endroit ? Il s’agit d’anciennes ruines, datant de l’âge avant le chaos d’Ogrest, celle qu’on appelait « L’âge de Dofus ». Il y avait un village établit à cet endroit il y a plus de 1000 ans, il fut complètement rasé par un cataclysme avant de sombrer dans les eaux et d’atterrir à notre époque sur cette cote inconnue du continent. Mais, ce cataclysme n’a pas été provoqué par Ogrest mais par une créature encore plus effrayante que lui. Cette créature à survécu elle aussi, et elle se trouve à notre époque également. Mais assez parler du passé, et passons au présent. Je te remercie d’avoir accepté de me rencontré en ce lieu. Je t’avoue que j’ai douté de ta réponse à mon invitation.

- De quoi parles-tu ? Je suis venu en suivant le destin tel un chemin que l’on a tracé pour moi.

- Ainsi, tu ne la pas reçut… Mais qu’est-il devenu alors… Bah, peut importe, du moment que tu sois présent, le reste n’a plus aucune importance. Je voulais te parler.

- De quoi ? De la raison de cette guerre absurde ? De l’origine de cette puissance que tu possède ? Ou bien des mystères de ton passé qui te relie avec ces ruines ?

- Humm, tu es très intelligent, il est vrai que je pourrais répondre assez facilement aux trois questions que m’a posé, mais c’est d’autre chose que j’aimerais que l’on discute maintenant.

- Je t’écoute, mais dépêche toi je te prie, je dois retrouver mes camarades demain dans la matinée et le chemin est long.

- Je serais bref alors. »

Il s’assit dans l’herbe, posa ses mains sur ses genoux et prit une grande inspiration. Kanashnikov fit la même chose. Ils s’observèrent pendant quelques secondes, la nuit était pleinement tombée et les seuls lumières qui restaient provenaient des torches et des auras des deux personnages assirent au centre des ruines. Akukami ferma les yeux puis parla d’une voix forte et rapide :

« Kanashnikov, rejoint l’ordre des chevaliers de l’horizon ! L’Ordre des Boulets ne survivra pas à l’alliance du top 5 demain, sa destruction est inévitable et je ne veux pas perdre un homme possédant une puissance proche de la mienne. Alors, fait le bon choix et soit mon allié. »

Kanashnikov soupira, se releva et annonça :

« Si c’est tout ce que tu as à me dire, je pense que tu peux repartit de là où tu es venu. L’Ordre des Boulets ne perdra face à aucuns adversaires. Prépare-toi, Akukami !

- Je suis déçut de ta réponse… Cependant, puisque tu n’es pas un allié, je dois te supprimer !

- Approche, je vais te montrer la puissance du chef de la guilde de l’Ordre des Boulets ! »

Akukami se leva, serra ses poings, puis observa Kanahnikov. Ils s’observèrent ainsi pendant une dizaine de secondes avant de se foncer dessus en gueulant :

« Kanashnikov ! »

« Akukami ! »

Leurs poings rentrèrent en contact, le combat le plus terrible de cette guerre venait de débuter dans un fracas étourdissant. Le vainqueur décidera de l’avenir de la guilde.
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Dhex

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MessageSujet: Re: Bataille pour l'honneur!   Bataille pour l'honneur! Icon_minitimeVen 14 Déc - 9:13

chuis fanne!!!! j'vois bien kaka s'faire chier d'ssus par un mulou!
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Feudorée

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MessageSujet: Re: Bataille pour l'honneur!   Bataille pour l'honneur! Icon_minitimeVen 14 Déc - 18:56

HAAAN JE KIFF Very Happy!!! Mais m*rde pourquoi t'as coupé le combat COUNNARD!!!Sad
Attend défaut, la langue comme d'hab' ^^ Mais bon on te changera pas... Razz
MAIS , pourquoi t'as changé le combat contre la nini? J'adorais l'idée qu'elle ne puisse se régénérer que partiellement à chaque fois et ce de moins en moins bien. Mais bon t'as voulu aller vite comme d'hab' counnard ^^
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Aoryane

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MessageSujet: Re: Bataille pour l'honneur!   Bataille pour l'honneur! Icon_minitimeDim 16 Déc - 1:03

(PS: Ce chapitre est le plus court que j'ai fait jusqu'à maintenant, et je m'en excuse. C'était l'unique solution pour que les prochains combats soit tout à fait sublime. Rester connecté, le prochain chapitre sera d'une incroyable violence. Bonne lecture!)

CHAPITRE 12 : L’ultime bataille.


Une immense armée nous faisait face, plus de 1000 hommes armés, la rage dans les yeux et le meurtre dans l’esprit se dirigeaient vers notre Q-G. Jarheard et moi nous sommes dépêchés de descendre de la colline où nous avions fait une halte pour rentrer dans notre Q-G. Une explosion se fit juste à l’entrée, nous accélérions le pas, priant que personne ne soit blessé. On contourna le cratère crée par cette attaque préventive, et nous sommes rentré dans notre base. Une vision horrible nous accueillit, Stary Moon était empalé sur le mur du fond, Gelaw était en train d’essayer de lui retirer la pique en fer noire qui était planté dans son ventre, Feudoreé surveillait la porte, son arc préparé à n’importe quelle attaque, elle faillit nous attaquer lorsque nous sommes rentré, La Succube, avec l’aide de Soëline, était en train de préparer des potions et des bandages pour soigner Stary Moon. Lorsqu’ils s’aperçurent de notre présence, ils furent très heureux mais n’arrêtèrent pas pour autant leur tache, la survie de Stary Moon était trop incertaine. Seule Feudoreè avança jusqu’à nous et nous demanda :

« Vous avez vu Kanapey ou Kanashnikov ? Ils ne sont pas encore arrivés !

- L’armée ennemie est déjà là ! répondit Jarheard, mais qu’est-ce qu’ils fabriquent ces deux là ? J’espère que rien ne leur soit arrivé, sinon, je m’occupe moi-même d’eux !

- Ils sont plus de 1000, on ne pourra rien faire à six ! Disais-je.

- On tentera l’impossible, mais l’Ordre des Boulets va leur prouver qu’on est la meilleure guilde qui existe. »

Feudoreé se tourna vers Gelaw, qui venait de réussir de décrocher Stary Moon, et lui dit :

« Gelaw, tu restes ici pour aider La Succube à soigner Stary Moon, ensuite tu nous rejoins dehors. Venez, Aoryane, Jarheard, on va faire couler du sang d’ennemi de l’Ordre des Boulets. »

Elle sortit alors, on la suivit immédiatement, on se mit côte à côte faisant face à plus de 1000 hommes en colère. En nous voyant, ils rigolèrent, nous insultèrent, se moquèrent de nous. Ils ne savaient pas à qui ils avaient à faire. Feudoreé banda son arc et tira une flèche, elle fila rapidement au milieu des ennemis, elle explosa, des cris se levèrent, des corps tombèrent sans vie au sol. Les hommes hurlèrent de rage et nous foncèrent dessus avec folie. Je me suis précipité pour les accueillir, pendant que Jarheard et Feudoreé les canardaient de loin. Des coups de hache, d’épée, de poing et de pied me touchèrent en grande quantité, mon sang coula le long de mon corps et sur le sol mais plus les coups me touchaient, plus ma force grandissait et plus les corps ennemis au sol étaient nombreux. Les pertes ennemis étaient élevé, plus de 200 étaient déjà mort, mais leur nombre était leur avantage et nous commencions à être submergé. Nous étions encerclés, des attaques commencèrent à toucher Feudoreé et Jarheard, ma seule présence ne pouvait pas les protéger totalement. Je suis allé les aider, empêcher les coups de blesser mes amis, ils étaient trop nombreux, je n’arrivais pas à suivre el rythme. Nous aurions été tués si Gelaw n’était pas arrivé à cet instant. Il sauta dans le tas, brula tous les ennemis présents autour de lui. Avec un nouvel adversaire à combattre, les ennemis perdirent leur confiance qu’ils avaient toujours eue. La peur s’emparèrent d’eux, la moitié de leurs hommes tombèrent, ils commencèrent à s’enfuir, on ne les laissa pas s’enfuir. Ils allaient tous payer, avoir essayé de détruire notre guilde. Soudain, au loin, une puissante aura se leva, cinq silhouettes se dessinèrent. Tous les ennemis s’arrêtèrent et se tournèrent vers eux, et tous répétèrent la même chose :

« Ils sont là !

- Les meilleurs ! Les invaincus !

- Le top 5 de l’Ordre des chevaliers de l’horizon !

- Aller-y ! Massacrez-les ! »

La silhouette se trouvant au milieu rigola.

« Qu'est-ce que j’entends? Oh ! Un insecte s’adresse à nous ! Quelle audace ! »

Il leva alors le bras et les cinquante personnes se trouvant à droite de nous disparurent ! Les autres stupéfiés recommencèrent à courir en hurlant. Le chevalier de l’horizon rigola et fit disparaitre encore plus de ses alliés. Feudoreé cria alors :

« Arrête ! De quel droit tue-tu tes propres alliés ? »

L’homme s’arrêta puis regarda attentivement Feudoreé et lui dit :

« Car je suis puissant ! Et maintenant, c’est ton tour ! »

Il se téléporta alors juste à coté de Feudoreé l’attrapa et ils disparurent. Gelaw hurla. Il fonça tête baissée sur les membres encore présent, chargeant son poing. Il l’envoya sur le plus proche de nous, les autres s’écartèrent en vitesse, une gigantesque explosion s’en suivit, masquant le soleil. Un des chevaliers courut vers le Sud, Jarheard le prit en chasse. Je me suis dirigé vers Gelaw pour l’aider mais à cet instant j’ai sentit une pression sur ma jambe. Quelque chose me tira avec force, je me suis dirigé vers la forêt. Arrivé au centre de cette lugubre forêt, je me suis arrêté et j’ai put voir qu’une ronce m’avait attrapé la jambe et m’avait tiré jusque ici. Au moment où j’ai voulut l’enlevé, elle me lâcha et disparut, un craquement me fit tourner la tête et j’ai vu un chevalier se diriger vers moi, en marchant calmement. Je me suis relevé et me suis préparé au combat. Chacun d’entre nous avez reçut son adversaire, les combats allaient bientôt débuter dans un fracas époustouflant.
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Aoryane

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MessageSujet: Re: Bataille pour l'honneur!   Bataille pour l'honneur! Icon_minitimeDim 16 Déc - 22:37

(PS: Vous l'attendiez tous, le voila, le premier chapitre du dernier acte de mon histoire, soyez heureux, il est là. Bon chapitre et bonne lecture.)

CHAPITRE 13 : Amour, combat et mort


Ma respiration se fit plus lente, la peur me tailladait le ventre, contre qui j’allais donc tomber ? Le chevalier s’arrêta et commença à retirer sa cape qui dissimulait son visage, celle-ci tomba sur le sol, révélant au grand jour le visage de mon adversaire. Il s’agissait d’une sadida, aux cheveux violets et d’une immense beauté. Mon regard se promena sur son corps, j’ai ainsi put apercevoir qu’elle portait des vêtements très courts, une mini jupe, des bottines noires, et un unique soutien-gorge. Lorsque mon regard se posa sur sa poitrine, d’une taille modeste, mon cœur s’arrêta. Entre ses seins, se trouvait marqué un chiffre, un « 1 ». Devant moi se trouvait le plus puissant élément de l’ordre des chevaliers de l’horizon. Elle commença à avancer vers moi lentement, je me mis en garde près à riposter, près à me battre au péril de ma vie, lorsqu’elle se retrouva instantanément devant moi. Elle leva les bras, j’ai sentit ma dernière heure arrivé, j’allais mourir, enfin, je le croyais, car elle abaissa ses bras sur mes épaules et cola ma tête entre ses seins en me disant doucement au creux de l’oreille :

« Te voila enfin, mon amour. »

Plusieurs choses m’ont surpris à cet instant : la douceur de ses seins, le ton sucrée de sa voix, mais surtout, son attitude envers un ennemi. J’ai levé mon regard pour la regarder dans les yeux, il n’y avait pas de trace de violence en eux, juste une passion amoureux débordante. Ne comprenant pas cette situation, j’allais lui poser des questions sur ce qui se passait à l’instant, lorsqu’elle avança sa tête vers moi et ses lèvres rentrèrent en contact avec les miennes. Ses lèvres étaient sucrées et succulentes, mon esprit commença à partir, je lui rendis son baisser par instinct, elle ne fut pas surprise et l’accepta avec joie. Notre enlacement dura pendant une dizaine de seconde avant que l’on se détache l’un de l’autre. J’étais essoufflé, les joues rouges et en feu, tandis qu’elle semblait en pleine forme et n’était pas gênée par ce qui s’était passé. Je me suis alors éloigné quelques peu d’elle, et je lui ai demandé :

« Ce baisser, pour qu’elle raison ma l’as-tu donné ?

- Je t’aime, depuis toujours, depuis que je te connais.

- Mais, on ne s’est jamais rencontré jusqu’à maintenant.

- On s’est déjà vu, même si tu ne le sais pas, je t’ai même parlé, ne t’en rappelle-tu pas ? »

J’ai fouillé dans ma mémoire, aussi loin que je puisse me rappeler, hélas, sur le moment, rien ne m’ai revenu. Cela provoqua ma perte. J’ai donc du répondre ceci :

« Non, je suis désolé, mais je ne me rappelle pas t’avoir croisé auparavant. »

Ses yeux se remplirent de larmes, sa tristesse m’atteignit au plus profond mon âme. Je me suis dirigé vers elle pour la réconforter, mais au moment où ma main allait l’atteindre, elle la repoussa et se yeux me jetèrent des éclairs de rage et de haine. J’ai essayé de reculer mais elle m’attrapa le poignet avec force, elle me regarda dans les yeux et me dit :

« Ainsi, tu n’acceptes pas mon amour, tu ne te rappelle même plus de moi. Je vais donc te tuer, car personne à part moi ne dois te posséder. Adieu, mon amour. »

Elle leva son bras, une bourrasque s’abattit sur la forêt, les arbres au alentour commencèrent à remuer, puis à bouger. Ils se sont animés, ils se levèrent et se dirigèrent vers moi, les bras tendus, pour m’attraper et me briser le cou. Voyant le mort arrivait, mon esprit se vida de toute notion de bien et de mal, comme contre la n°8, Chüzluce. Que ce soit une femme ou non, un ennemi doit être abattu, pour la guilde et pour ma propre vie. J’ai attrapé le cou de la sadida et ai donné un coup de pied dans son bras qui m’empêcher de me mouvoir. Elle me lâcha et j’ai ainsi put éviter les bras des arbres vivants qui m’attaquer. J’ai foncé sur l’un d’eux et les frapper avec toute ma force sur son tronc, il se brisa et l’arbre tomba avec fracas sur le sol. La poussière s’éleva, mon aura explosa alors, les autres arbres prirent peur et tombèrent sans que j’ai eu à les attaquer. Je me suis alors tourner vers la sadida et l’ai provoqué avec ma main. Elle me répondit avec un geste grossier et me fonça dessus. Des ronces sortirent de toutes parts et me foncèrent dessus avec rapidité et puissance. Je les ai esquivé tant bien que mal mais me prit de plein fouet le poing de la sadida. Sa puissance avait été décuplée par ses pouvoirs, elle avait changé la constitution de sa main pour la rendre aussi rigide qu’un arbre. Je me suis fit propulsé en arrière et me suis cogné contre un arbre, celui-ci s’anima et me bloqua. La sadida s’approcha alors de moi, me fit un baisser sur le front et me chuchota :

« Au revoir, mon amour. »

Elle leva son bras, le fit durcir, et frappa. Une fois, deux fois, trois fois… Mon sang gicla, ma vie partait petit à petit, la mort allait bientôt m’accueillir. Ma vie ne tenait plus qu’à un fil lorsque les coups se stoppèrent. Je levai la tête et je vis la sadida immobilisé par des ronces. Derrière elle se trouvait une autre sadida, plus jeune mais non pas moins belle, Soëline. Elle jeta notre adversaire au loin et se précipita vers moi pour me libérer, elle me fit ensuite avaler une potion d’une couleur rouge sang qui soigna la totalité de mes blessures. Je me suis relevai assez facilement, ai remercié Soëline et me suis tourné vers notre ennemie qui revenait lentement vers nous. Les cheveux décoiffés et les yeux remplie de colère, elle nous regarda tous les deux et nous cria :

« Ce sacrieur est à moi, et à personne d’autre ! Je vais tous vous tuer ! »

Elle frappa le sol de ses deux paumes, le sol trembla et se fissura. Un bras géant sortit de terre et s’abattit sur nous. On l’esquiva facilement mais nous avions été séparés par cette attaque. Le sol trembla de nouveau, avec plus de violence, et un corps sortit également de terre, il était monstrueux, sa peau était constitué d’écorce et de mousse, son visage était d’une terrifiante mocheté, des yeux louchant, une bouche grande ouverte, des dents manquante à l’appelle, d’autre troués ou jaunes, des cheveux verdâtres, plein de boue et de poussière, un nez caché et noire, mais surtout, une disproportionnalité entre la taille de ce monstrueux visage et son corps. Ce monstre nous regarda avant de crier et de nous attaquer. Il détruisait tous ce qu’il touchait comme s’il s’agissait du verre. J’esquivai un de ses coups et aperçut une opportunité pour le frapper, je l’ai saisit et lui ai sauté dessus, au moment où mon poing allait l’atteindre, quelque chose me frappa dans les côtes. La sadida m’avait foncé dessus pour m’empêcher de détruire sa création. Elle me sourit et me dit :

« Je vois que tu n’apprécie pas ma créature. Il s’agit d’une fusion entre plusieurs espèces végétales et la totalité des habitants de mon village natale. Ils ont tous était tué par des méchants hommes. Je suis l’unique survivante. Ils me servent à me battre quand j’ai besoin d’aide. Leur mort n’a donc pas était inutile, car je les venge en tuant tous les hommes qui nous ont fait souffrir.

- Mais, nous, l’Ordre des Boulets, nous n’avons rien à voir avec ton village, pourquoi nous en vouloir ?

- Je ne vous en veux pas. Je n’avais aucune attention meurtrière en venant ici. Je voulais juste partir loin d’ici avec mon amour. Mais, celui-ci me fait souffrir, en n’acceptant pas mon amour. Je vais donc le tuer, et tous ceux qui l’aiderons.

- Pourquoi le seul fait d’avoir oublier notre rencontre fait de moi quelqu’un refusant ton amour ?

- Car, cela me rappelle mon passé. Je ne peux pas te pardonner. »

Elle cria, et ses souvenirs refirent surface. C’était il y a 20 ans, dans un village sadida où la paix régnait depuis longtemps. Une petite fille courait au milieu de la rue, elle riait, elle ignorait tout de la violence de ce monde. Elle entendit alors sa mère l’appelait, elle se retourna, sa longue chevelure violette ondula sous l’effet du vent, elle lui répondit et courra vers elle.

« Apfelove ! Ne courre pas ! Tu pourrais tomber et te faire mal !

- Pardon maman, je ne le ferais plus.

- Alala, qu’est-ce que je vais bien faire de toi, mon amour, elle l’enlaça tendrement, aller viens, on va manger.

- Ouai ! J’ai faim ! Qu’est-ce qu’on mange ?

- On mange des… »

Des explosions se firent entendre à l’Ouest du village, des étrangers se ruèrent dans la village, tuant tous les gens passant à leur portée, les habitants hurlèrent et commencèrent à courir dans tous les sens. Apfelove se tourna vers sa mère pour lui demander ce qu’il se passait, mais elle n’était plus là. Elle était déjà loin, elle avait abandonné sa fille pour sauver sa vie, mais hélas pour elle et pour tous ceux qui espéraient s’en sortir, les étrangers avaient déjà encerclé le village et ils furent tous exterminé. Tous les brigands se réunir au centre du village, il était une cinquantaine, tous le monde était mort, sauf une petite fille, immobile à coté de la fontaine du village. Les brigands ne l’avaient pas remarqué jusqu’à maintenant, ils s’avancèrent vers elle, le premier à coté d’elle l’attrapa par le col de la chemise et la tira vers une montagne de cadavre, là où tous els habitants avaient été rassemblé. Apfelove ne se débattit pas, elle était comme paralysé, incapable de se mouvoir ou de se défendre, l’abandon de sa mère avait détruit son esprit. Le brigand la jeta sur le tas de mort, sortit un couteau et se prépara à la pourfendre lorsqu’une aura se fit sentir à l’entré du village. Les étrangers se retournèrent et virent un sacrieur se tenant devant eux. Ils n’eurent même pas le temps de sortir leurs armes ou de poser des questions, ils tombèrent tous comme des poupées de chiffons, le sacrieur avait bondit entre eux et les avaient tous tuer en un instant. Il s’avança alors vers Apfelove, se baissa, et lui demanda :

« Petite, je sais que tu n’oublieras jamais ce que tu as vu aujourd’hui, que la violence va être à jamais bannis de ton esprit et que la confiance que tu porteras aux autres ne sera qu’une illusion mais je sens en toi un immense potentiel, viens avec moi, allons changer ce monde pourri jusqu’à la moelle, ensemble. »

Il toucha alors le front de la petite fille, ses yeux s’éclairèrent d’une lumière bleue, elle se leva, posa sa main sur la montagne de cadavre et attendit. Le sol trembla, des arbres se rapprochèrent du centre du village et tombèrent sur les morts, leurs essences commencèrent à se mélangé et créèrent un monstre, gigantesque, pourrissant et affreux. Le sacrieur sourit et attrapa Apfelove qui s’évanouit. Le monstre se rendit sous terre, attendant les instructions. Le sacrieur s’éloigna alors, sortit de sa poche un médaillon ayant comme dessin supérieur, une orange et dit à voix haute :

« Maintenant, tu es la n°1 de l’ordre des chevaliers de l’horizon. Soit en digne, Apfelove. »

Apfelove me fonça dessus, me frappa de ses deux mains et commença à pleurer, le monstre s’arrêta de taper.

« Je t’ai fait confiance, je pensais que tu t’en souviendrais, je voulais y croire, mais tu es comme ma mère, tu m’as abandonné, tu as préféré vivre ta vie plutôt que penser à la mienne. Je te hais, je te hais, je te hais… je… je… je t’aime tellement ! »

Elle fondit alors en larme sur mon torse, toute sa volonté de se battre, de me blesser, était partit. Le monstre qu’elle avait invoqué s’enfonça dans la terre, sa mission n’avait plus lieu d’être, il est donc partit dans les profonds de la terre, qu’il ne devait plus quitter. Soëline s’approcha de nous, s’assit sur le sol, regarda le ciel, et soupira. De la fumée montait lentement au loin, j’espérais de tout mon cœur que rien en soit arrivé à mes amis. Au même instant, à l’endroit où la fumée montait, une scène affreuse s’était déroulé et la conclusion était sur le haut de cette colline. Gelaw couchait sur le dos, un chevalier de l’horizon en face de lui épée au poing qui avait transpercé, non pas Gelaw, mais La Succube, qui se trouvait entre les deux, les bras tendus de chaque cotés d’elle comme pour défendre la vie de Gelaw. Mais que c’était donc-t-il passé ici ? Gelaw, que s’est-il passé ?
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Feudorée

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MessageSujet: Re: Bataille pour l'honneur!   Bataille pour l'honneur! Icon_minitimeLun 17 Déc - 0:02

Arrg! J'en ai des frissons sans deconner OO'! LA SUITE !!! ;O J'adooreuuuh! LA SUITE VITE ! C'est un ordre!
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Aoryane

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MessageSujet: Re: Bataille pour l'honneur!   Bataille pour l'honneur! Icon_minitimeMar 18 Déc - 22:12

(PS: Avez-vous déjà pleuré en lisant un livre? Moi, oui. J'ai même pleuré en écrivant ce chapitre, j’écoutais une musique qui me fait frissonner (Kingdom Hearts, si vous connaissez) en même temps mais bon... Bon lecture. J'ai eu un immense plaisir à l'écrire, j’espère que vous en éprouverez autant en le lisant.)

Chapitre 14 : Furie des flammes et trahison


La vie, la chose la plus précieuse de ce monde et pourtant celle qui disparait le plus vite. Pourquoi s’accrocher à la vie ? Pourquoi ne pas pourvoir accepter la mort ? Pourquoi ne pas pouvoir pardonner la mort d’un ami ? Pourquoi la violence doit-être si présente dans ce monde ? Pourquoi ce monde est-il si pourri ? Pourquoi, dieu ?
Une gigantesque explosion, un poing plantait dans le sol, la transpiration coulant du visage, Gelaw avait attaqué dès qu’il avait pus, tous ses ennemis avaient esquivé et étaient partit, sauf un. Il se tenait près de lui, comme pour admiré son courage désespéré, sa violence destructrice, ou était-il juste resté pour affronter ce fou qui pensait pouvoir battre un dieu. Gelaw décrocha son poing, se releva et se mit face au chevalier, prêt à se battre jusqu’à la mort. Celui-ci enleva son manteau, Gelaw le reconnut immédiatement, c’était le deuxième garde du corps de Akukami qui n’avait rien dit lorsque son maitre avait fait sa déclaration de guerre, contrairement à Zeitpura, le premier garde du corps. C’était un cra, de grande taille et d’une mystérieuse beauté ténébreuse. Il prit son arc dorée qu’il avait dans son dos, sa forme était particulière, elle avait, en effet, une forme de « 3 ». Gelaw n’eut pas l’occasion d’ouvrir la bouche, le cra avait déjà décoché sa flèche, elle fila droit vers le cœur de Gelaw, celui-ci, par un reflexe inhumain, réussis à esquiver. La flèche se planta dans le sol à 10 mètres de lui et explosa, le souffle poussa Gelaw en avant, droit sur le cra. Il le contourna, et décocha une nouvelle flèche en visant l’oreille gauche. Gelaw usa de ses pouvoirs de feu pour pousser la flèche vers le haut, elle rasa sa tête et alla exploser à plus de 50 mètres au dessus du sol. Gelaw fit une roulade pour amortir sa chute. Il se retourna vivement et observa le cra, celui-ci ne décocha pas une nouvelle volée de flèche, il lui demanda :

« Tu es doué, plus que je ne le croyais, réussir à survivre à deux de mes attaques est miraculeux, quel est donc ton nom ?

- Je suis Gelaw, sacrieur de l’Ordre des Boulets.

- Je suis Freccianto, le troisième chevalier de l’horizon, désolé de t’avoir pris pour un débutant, je vais y aller à fond à présent.

- Je t’attends ! »

Au moment où Gelaw finit sa phrase, il sentit une énergie se dégager de son adversaire, une énergie de chaleur et de meurtre. Il leva les yeux, devant lui ne se trouver plus un cra, il n’y avait plus qu’un monstre, un monstre de feu, cherchant la destruction et la mort. Freccianto prit une flèche, il banda son arc et tira. Sa flèche, tel un missile fonça sur Gelaw, celui-ci ne vit plus, n’entendit pas, ne ressentit rien. La flèche le traversa, son ventre se déchira, ses boyaux fondirent comme de la lave, son sang coula, et, Gelaw, chuta. Il tomba si lentement, que Freccianto s’était rapproché et avait déjà tiré une épée rouge de sa ceinture avant que Gelaw ne touche le sol. Il leva son épée au dessus de sa tête et l’abaissa. Gelaw, le ventre en miette, le moral brisé, ses ambitions détruites, ferma les yeux et attendit la mort, comme une libération de ce monde. Le temps sembla se figer dans son esprit. Il semblait flotter dans le vide à la recherche d’une réponse, d’une lumière, d’un signe. Il bougea partout, cherchant une idée, une pensée, un endroit où aller. Mais, il n’y avait rien ici, un monde vide, froid, terne. Aucune vie à l’horizon, aucun ami près de lui, personne à qui parler, à qui se confier. Le néant l’entourait tel un serpent sur sa proie. Gelaw se dit alors :

« C’est donc cela, la mort. Moi, qui n’est jamais apprécié la vie, Moi, qui détestais ce monde, de haine, de violence, de mort, Moi, qui ne verrais plus jamais la lumière du jour. Pourquoi, n’est-ce que maintenant, après ma mort, que je commence à voir les bons cotés de la vie ? Pourquoi, est-ce uniquement lorsque l’on perd quelque chose que l’on se rend compte de son importance ? Pourquoi ? »

Une lumière apparut soudain, au loin, elle était petite, faible, mais la chaleur qu’elle procurait réchauffa le cœur de Gelaw. Il commença à se diriger vers elle, le plus vite qu’il pouvait. Il n’avait plus de doute dans son cœur, la vie, elle valait mieux que ce monde. Il devait vivre, sa mort ne devait pas être encore pour aujourd’hui. Il toucha du doigt cette lumière et ferma les yeux. Le vent souffla sur sa joue, l’odeur de brulé lui titilla les narines. Il était en vie, il ouvrit les yeux, la première chose qu’il vit, ce fut son ventre, reconstruit, sans blessure. La joie lui fit levait les yeux mais il vit quelque chose qui fit envoler cette joie loin de son esprit, si loin, que Gelaw n’allait surement plus jamais pourvoir ressentir ce sentiment. Devant lui, les bras tendus de chaque cotés, se tenait quelqu’un, une épée traversait son corps, du sang coulait le long de la lame. Gelaw vit le visage de cette personne qui s’était prit le coup d’épée à sa place, c’était une jeune femme, une jeune eniripsa, c’était La Succube. Elle s’était interposé entre Gelaw et Freccianto, et avait reçut un coup qui lui n’était pas destiné. Le cra retira sa lame, l’eniripsa tomba en arrière, sa tête tomba sur les genoux de Gelaw. Elle le regarda dans les yeux, elle sourit et lui dit :

« Je suis contente… tu es vivant… »

Des larmes tomba sur son visage, les yeux de Gelaw était humide, il ne pouvait pas empêcher ses yeux d’exprimer la tristesse qu’il avait dans son cœur. La Succube leva le bras et caressa la joue de Gelaw, tendrement, en lui disant :

« Ne pleure pas… c’est mon choix… mourir pour celui que j’aime… n’est-ce pas la meilleur mort qui existe ? »

Les yeux de La Succube se remplir lentement de larme, elle sourit et dit :

« Gelaw… ne pleure pas… j’aime tellement voir ton sourire… peux-tu… me sourire… une dernière fois… mon… amour. »

Sa main glissa le long de sa joue et tomba sur le sol. Gelaw les yeux plein de larme regarda son visage, froid, mort et pourtant toujours souriant. Freccianto s’avança et annonça :

« Elle est morte pour rien, tu ne m’échapperas pas. L’amour… c’est bien quelque chose d’inutile dans ce monde. »

Gelaw caressa les cheveux de La Succube, lui ferma les yeux et l’embrassa sur le front.

« Maintenant, Gelaw, de l’Ordre des Boulets, meurt, comme cette femelle ignorante et inutile. »

Freccianto leva son épée et coupa la tête de Gelaw, celle –ci s’envola doucement. Gelaw regarda son corps et celui-ci de La Succube, ferma ses yeux, son cœur et laissa sa colère exploser. La tête de Gelaw s’embrassa et disparut. Freccianto fut surpris pas cale et regarda le corps du sacrieur à ses pieds, celui-ci trembla et s’embrassa également, mais ne brula le corps de La Succube. Le feu brulant s’éleva dans les airs et se posa sur le sol derrière le cra, il se retourna et vit Gelaw se reconstruire avec ces flammes. Il était plus imposant que jamais, ces yeux, rougit par els larmes et par la rage regardaient leurs ennemi, le tueur de La Succube, celui qui aller payer, celui qui aller mourir. Gelaw s’élança en avant à une vitesse prodigieuse, son poing frappa le ventre du cra, qui ne put réagir. Gelaw hurla alors :

« Spirit of fire : Transcendance des flammes! »

Son poing s’enflamma et détruit tout ce qui avait le malheur de le toucher. Le cra fut prit dans cette attaque, il brula, hurla de douleur, il essaya d’attaquer, il tira des flèches mais elles traversaient le sacrieur comme s’il n’existait pas. Il tomba sur le sol, carbonisé mais vivant, il se releva, s’appuyant sur le sol avec l’aide de sa main libre. Il leva les yeux et regarda Gelaw. Il ne vit pas un sacrieur, il vit un monstre de feu, encore plus imposant que lui, sa puissance dépassé la sienne, sa vengeance balayait tous ce qui existait. Freccianto cracha du sang et demanda :

« Comment ? D’où vient cette puissance ? Elle ne peut exister dans ce monde ! Qu’es-tu donc ?

- Ce pouvoir est nouveau pour moi, et pourtant, j’ai l’impression de le connaitre, il s’agit de l’ultime forme que tous les Hommes maitrisant l’élément de feu peut obtenir. Il faut pour cela, un sacrifice.

- Un sacrifice ?

- En tuant La Succube, mon cœur se brisa, j’ai perdu toute notion de bonheur. J’ai sacrifié ma joie, mes plaisirs, mes souvenirs heureux pour te tuer. Il s’agit du « Spirit of fire ». Je ne suis plus un homme maintenant, tu as devant toi, un monstre, une boule de feu ayant un esprit et une conscience. Et tu ne pourras jamais tuer du feu ! »

Gelaw se concentra, du feu se réunit dans son poing. Il chauffa, atteint une température élevé. Il s’avança alors vers Freccianto leva son poing et l’abattit sur son torse. Celui-ci, brula, disparut dans des cendres, ses organes internes fut détruit également. Le cra était couchait sur le sol, son torse totalement détruit, la vie sur le fil, la mort toquait déjà à la porte pour venir le chercher. Gelaw s’éloigna, se dirigeant vers le corps de La Succube, cette vision plongea Freccianto dans ses souvenirs, il commença à se rappeler de sa vie d’avant, celle qu’il partageait avec sa fiancée, la magnifique Moa.

« Freccianto, mais qu’est-ce que tu fais ? Si tu ne viens pas tout de suite, je vais me baigner toute seule.

- Attend, c’est bon, je suis là. »

Freccianto monta la colline, il était chargé d’affaire, il tomba sur le sol, épuisé. Une ombre le recouvrit, il sentit une main sur sa chevelure, il leva la tête. Devant ces yeux, un visage parfait, une peau blanche, des cheveux blond, des yeux cristallins, bleutés, et des lèvres rosés, celui de sa femme, sa Moa. Elle essuya la transpiration qu’il avait sur son front, lui sourit et lui dit :

« Viens, on va se baigner. »

Il se leva, se déshabilla et rentra dans l’eau avec elle. Ils s’enlacèrent et s’embrassèrent. Rien ne pouvait stopper une si belle histoire d’amour, à part :

« Moa !!!

- Freccianto ! Non, lâchez-moi, au secours ! Freccianto !

- Moa !!! »

Ce jour-là, alors qu’ils ne promenaient, main dans la main, ils furent agressés par des voyous, ils étaient au nombre de trente. Ils immobilisèrent rapidement Freccianto et capturèrent Moa. Les voleurs ne voulaient au début que les détrousser de leurs biens, mais à la vue de cette magnifique femme, leur sang ne fit qu’un tour, et ils firent quelque chose d’abominable. Ils la violèrent, plusieurs fois, pendant des heures, sous les yeux de Freccianto, celui-ci, retenu par une dizaine de voyous, ne pouvait rien faire, il se mordit si fort les lèvres que du sang coula. A la fin, Moa avait subit tellement d’humiliation qu’elle en était morte. Freccianto était brisé, mais ce fut les paroles des brigands qu’il lui fit perdre la derniére part d’humanité qu’il lui resté :

« Et merde ! Elle est morte !

- Bah, pas grave, elle était bonne non ?

- Je n’ai même pas pu lui passer dessus… Ramène-la à la vie !

- Bonne idée, va chercher un eniripsa ! »

Freccianto explosa, le sang coula, les tripes s’envolèrent, les cerveaux s’écrasèrent contre les murs. A la fin de sa colère, plus personne ne vivait autour de lui, des cadavres étaient éparpillé autour de lui. Il se dirigea vers le corps de sa femme, tomba à genoux et pleura. Des bruits de pas se firent entendre, il se tourna, il vit un sacrieur se dirigeait vers lui, il était énorme, il dégachait également une aura terrifiante. Il s’arrêta à coté de Freccianto, et lui demanda :

« Veux-tu la revoir ? Je peux la faire revivre. Mais j’ai besoin de ta force. Viens avec moi, rejoint mon ordre.

- La revoir, encore une fois. J’accepte, je te suivrais partout.

- Je suis Akukami, tiens prendre ceci. »

Akukami donna un médaillon avec un arc comme dessin supérieur, et lui dit :

« Tu es à présent le numéro 3 de l’Ordre des chevaliers de l’horizon.

- Allons-y, créons un nouveau monde, Akukami ! »

Les souvenirs tournèrent autour de Freccianto, il commença à avoir le tournis, et entendit de nouveau ce que lui avait dit Akukami :

« Veux-tu la revoir ? »

Cette unique phrase, fit électrochoc dans le corps de Freccianto, malgré son torse arrachait, il se leva et se précipita sur Gelaw, l’épée levait. Gelaw se retourna, il ne pouvait pas esquiver cette attaque, son « Spirit of fire » était désactivé, il allait mourir. Mais Freccianto stoppa son attaque, une forme spectrale était apparut entre eux, le fantôme de Moa, elle souriait. Freccianto abaissa son arme, sourit également et dit :

« Moa, nous serons ensemble… pour… toujours. »

Il chuta alors, le sourit sur son visage toujours présent. Son âme avait rejoint sa femme, et ils ne seraient plus jamais séparés. Gelaw transpira légèrement avant d’entendre un bruit derrière lui, il se retourna et vit La Succube ouvrit les yeux. Il hurla de joie et la prit dans ses bras en pleurant. Elle fut surprise mais sourit et lui dit :

« J’allais pas te laisser tout seul, mon amour. »

Dans le cœur de Gelaw, la joie avait retrouvé sa place et ne la quitterais plus jamais, tans que Gelaw aura des amis sur qui compter. La vie lui paressait plus douce à présent.
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